Photo : S. Zoheir De notre correspondant à Oran Samir Ould Ali En pleine saison estivale, El Bahia Oran, à l'instar de nombreuses grandes villes algériennes, égrène les jours d'été dans le farniente et la torpeur. Nul besoin de dire aujourd'hui qu'Oran compte des lieux et sites qui méritent le détour pour qui veut mieux connaître une ville «au cœur généreux et à l'âme tourmentée, portant dignement mais péniblement ce patrimoine méditerranéen, riche par sa diversité, sa symbolique et sa forte charge symbolique». Ce constat d'Oranais n'apporte aucun remède aux maux dont souffrait déjà la capitale de l'Ouest : insécurité, bureaucratie et marchés informels. Les problèmes d'Oran restent entiers. S. O. A Lires les pages régionales en 4 et 5