Referee : un trio d'arbitres maliens, conduit par le directeur de jeu Koman Coulibaly, dirigera aujourd‘hui la rencontre Gambie-Algérie. L'arbitre malien, âgé de 42 ans, est international depuis plusieurs années. Il a déjà arbitré le match entre les «Scorpions» et les Verts en juin 2008 à l'occasion du 3e tour des éliminatoires jumelées CAN-2010 et Mondial-2010. Il a également dirigé la finale de la CAN-2010 en Angola entre l'Egypte et le Ghana. MOBILISATION : les supporters gambiens ont promis d'envahir les gradins du stade de l'Indépendance de 40.000 places pour soutenir les «Scorpions» dans leur important rendez-vous face à l'Algérie. L'engouement que suscite ce match ne cesse de monter crescendo à l'approche du jour J. ENTRAîNEMENT : une seule séance d'entraînement était au programme des coéquipiers de Sofiane Feghouli lors de leur séjour à Banjul. Elle a eu lieu mardi sur la pelouse principale du stade de l'Indépendance, à l'heure du match (16h30 heure locale, 17h30 heure algérienne). Comme le stipule le règlement de la CAF.
ASSISTANCE : le médecin de la sélection gambienne, Imad Eddine Attris, est un Egyptien résidant en Gambie depuis six ans. Dimanche, lors des entraînements des «Scorpions», il a ausculté un journaliste algérien venu couvrir la séance et souffrant d'une forte angine accompagnée de fièvre. Il lui a délivré gratuitement des antibiotiques et un antipyrétique. Un geste qui mérite tous les applaudissements.
BILLETTERIE : le prix du billet d'entrée au stade de l'Indépendance pour suivre le match Gambie-Algérie sera de 100 dalasis (environ 2,5 euros) pour la tribune couverte, 50 dalasis (environ 1,30 euro) pour les gradins opposés non-couverts et 25 dalasis (environ 0,65 euro) pour les tribunes se trouvant derrière le but. Par contre, pour pouvoir s'asseoir dans la tribune VIP, il faudra débourser 1000 dalasis (environ 25 euros).
PARLOTTE : les Gambiens excellent dans leur manière d'accoster leurs hôtes. Que ce soit en ville, dans les magasins ou pendant les promenades, le touriste est inévitablement «encerclé» par des jeunes l'abordant dans différentes langues internationales et locales pour lui «coller» un de leurs produits.