L'ailier gauche de la JSK, Mohamed Derrag, a connu une fin de semaine un peu difficile avec cette blessure au coup de pied contractée après seulement vingt minutes de jeu face au RCK. L'ailier gauche de la JSK, Mohamed Derrag, a connu une fin de semaine un peu difficile avec cette blessure au coup de pied contractée après seulement vingt minutes de jeu face au RCK. Le joueur a dû s'astreindre à un arrêt total le lendemain et le surlendemain, avant qu'il ne soit définitivement rassuré par les examens de l'IRM. C'est vrai que le joueur s'entraîne toujours en marge du groupe, mais il dit dans l'entretien qui suit pouvoir récupérer à temps pour le match de dimanche, face au NAHD, comptant pour la première journée du retour.
Votre blessure est-elle si grave pour que vous vous entraîniez à l'écart du groupe ? Pas aussi grave que ça, Dieu merci. Seulement, j'ai eu peur sur le coup. La douleur était tellement intense que j'ai pensé que j'en aurai pour au moins un mois. Finalement, ça va. Les examens que j'ai passés m'ont rassuré. Je n'ai rien de grave. De quoi souffrez-vous exactement ? C'est une entorse au coup de pied. Je crois que le premier métatarse est touché, mais ce n'est pas aussi grave que je ne le pensais au départ. La preuve, j'arrive à marcher et même à courir sans problème. Donc, je pense que ça ira mieux d'ici deux ou trois jours. Enfin, je l'espère. Pensez-vous avoir récupéré d'ici au match de dimanche face au NAHD ? J'avoue que je ne suis pas encore fixé à 100 %. D'autant que le kiné du club ne m'a rien dit. J'attends encore de voir comment ça se passera lors des deux jours à venir. Si ça se présente bien, je pense pouvoir être parmi le groupe. Après c'est au coach de décider. C'est à lui de voir si je peux être utile à l'équipe. A combien évaluez-vous vos chances d'être de la partie ? Honnêtement, je n'en sais rien. Je peux avancer comme ça un pourcentage, mais je ne serai pas sûr à 100 %. Tout ce que je peux dire pour le moment, c'est que ça se présente bien. L'avantage est que je ne suis pas complètement à l'arrêt. Si tel était le cas, je n'aurais aucune chance de me rétablir à temps. Mais là, il y a des chances. J'essayerai de travailler, de faire le maximum pour être prêt. Ça tombe au mauvais moment, non ? Une blessure n'est jamais la bienvenue. Je veux dire par là qu'il n'y a pas de bons et de mauvais moments pour se blesser. Une blessure, c'est toujours c… quelle que soit sa nature. Seulement, j'essaye de gérer ça. L'essentiel, c'est que je ne sois pas complètement à l'arrêt. Entretien réalisé par Achour Aït Ali