Mourad Boujellal, le président de Toulon, a pris ces remarques pour lui. « J'ai une entreprise privée qui s'appelle le RCT. Est-ce que le matin quand je me lève je dois penser à ce qui est bon pour l'équipe de France ou à ce qui est bon pour mon club? Parce que si demain je fournis dix joueurs au XV de France et que Toulon ne va pas bien, est-ce que le Tribunal de Commerce me dira: "Allez, c'est pas grave, vous fournissez l'équipe de France, on efface tout...". Je ne pense pas. On est une société privée avec les mêmes règles économiques que toutes les sociétés privées. Je dois d'abord penser à mon club [...] pour assurer la pérennité de tous les emplois du club. On n'a pas de délégation de service public » a lâché Boudjellal dans des propos rapportés par Rugbyrama.