Suite aux révélations du documentaire diffusé par la chaîne allemande ARD, le 1er août, l'Agence mondiale antidopage a tenu à préciser que le fichier d'athlètes que les journalistes s'étaient procurés ne provenait pas de sa base de données ADAMS (Anti-Doping Administration & Management System). «L'AMA condamne la fuite d'informations confidentielles sur les athlètes et tient à leur assurer qu'ils peuvent avoir une totale confiance en ADAMS pour protéger leurs données personnelles, a déclaré David Howman, le directeur général de l'AMA. L'AMA souhaite également rassurer les athlètes sains qu'un état sanguin atypique, qui pourrait apparaître dans cette base de données, n'est pas synonyme de dopage.» (lefigaro)