La Cité olympique, une œuvre de Raouraoua Après s'être déplacée à Cabinda la semaine dernière afin de couvrir l'actualité du groupe B, une équipe du Buteur est retournée hier matin sur place, en prévision du quart de finale que l'Algérie disputera dimanche contre la Côte d'Ivoire, au stade Chiaza. Il s'agit de la première équipe de journalistes d'un organe algérien à être arrivée à Cabinda, dans le souci de rapporter à nos lecteurs tout ce qui a trait à la préparation du match important qui attend notre sélection. La Cité olympique, une œuvre de Raouraoua Dans une précédente édition, nous avons évoqué la Cité olympique, ce petit village constitué de villas qui abritenbt les sélections qui ont évolué ou qui sont appelées à évoluer dans le stade Chiazi de Cabinda. Il s'agit de la fameuse «forteresse de Tchiaza», du nom du quartier où elle se trouve et qui, après la fusillade dont avait été victime le bus transportant la délégation togolaise, est entourée d'une surveillance accrue de la part de tous les services de sécurité. Cette Cité olympique est l'œuvre de Mohamed Raouraoua, président de la Fédération algérienne de football, qui, en sa qualité de superviseur de l'organisation de la CAN-2010 depuis qu'elle avait été octroyée à l'Angola, avait préconisé la construction d'un tel site pour héberger les sélections, plutôt que de construire des hôtels onéreux qui, une fois la CAN terminée, ne seraient plus rentable puisque le Cabinda n'a pas la vocation d'être une province touristique. Aujourd'hui, la Cité olympique est devenue une réalité et c'est tout à l'honneur de Mohamed Raouraoua.