(Re) A nous deux Egypte et n'oublie surtout pas le « rite » qui veut que ce ne soit jamais deux sans trois. (Re) A nous deux Egypte et n'oublie surtout pas le « rite » qui veut que ce ne soit jamais deux sans trois. Oum Dorman, c'était comme à Blida et ce sera pareil à Benguela entre Luanda et Cabinda. Non, il ne saurait en aller autrement, sinon il ne nous resterait qu'à y laisser aussi nos galons de Mondialistes chèrement acquis et non moins haut la main. Plutôt y laisser la vie sur le terrain, non, jamais, même s'il faut que le sang qui a coulé au Caire se déverse à nouveau, et cette fois des genoux jusqu'au cou. Jusqu'au coup de grâce qui sera l'objectif de la mission assignée aux héros, nos géants Verts, qui auront à ramener, comme toujours, de la joie dans les chaumières les plus éloignées des quatre coins du pays et d'ailleurs. Jusque dans les foyers de Ghaza tout heureux de voir, au grand jour, le soleil continuer à leur parvenir malgré le mur de la honte, puisse-t-il se transformer dès ce jeudi en annexe de celui des lamentations pour que viennent s'y cogner ceux qui ont pu, de loin ou de près, contribuer à sa conception. Allez les gars, les rendez-vous se succèdent avec l'histoire dont ce n'est pas par hasard si on dit qu'elle est un éternel recommencement. Elle vous tend la main pour vous guider sur le chemin d'une autre gloire dont vous aurez encore à barrer la route à ces mêmes Pharaons d'une autre ère et à la mémoire si courte qu'ils vous promettent une réponse sévère, et dont, il ne saurait faire aucun doute, la dernière heure a sonné pour les faire taire une fois pour toutes. M. Raber