A moins que le meilleur buteur de l'histoire des Bleus (51 buts) ne prenne tout le monde à contre-pied, comme l'envisage Pierre Ménès. "A 37 ans passés, il a peut-être mis fin à sa carrière de footballeur, en se faisant éliminer de la finale de Conférence Est avec les New York Red Bulls par New England (1-2 à l'aller, 2-2 au retour). Je dis peut-être parce qu'avec Henry, on ne sait jamais, a publié le journaliste dans sa chronique pour Direct Matin. Il a un tel amour, une telle rage pour le jeu que tout reste possible. Thierry Henry va rentrer dans sa maison à Arsenal, et dans deux mois on apprendra qu'il s'entraîne, officiellement, pour garder la forme. Mais si Arsène Wenger voit en lui un joker, du type Didier Drogba à Chelsea, on le reverra sûrement avec le maillot rouge et blanc des Gunners. Et plus sûrement dans le staff, puis candidat à la succession d'Arsène. Un jour. (...) A la retraite ou pas, il va continuer à vivre longtemps de cet amour. Celui du football et celui des Gunners. Et même le vieil ours quitte sa grotte lorsqu'il a faim. » Des propos relayés par foot01.