Grosse déception dans les rangs clubistes Encore et toujours c'est… Boulemdaïs A la fin de la rencontre soldée par un nul entre son équipe, le CSC, et le PAC, l'entraîneur Rouas avait du mal à contenir sa colère à l'encontre de son compartiment offensif vraiment en panne d'imagination et d'efficacité actuellement : «Je n'arrive pas à admettre que l'on rate une victoire après avoir dominé les débats, mais sans parvenir à concrétiser les multiples occasions de scorer que l'on s'est créées. Nous vivons le même problème d'inefficacité de notre réseau offensif qui t nous pénalise à chacune de nos sorties. Cela devient dur à admettre, dans la mesure où nous avions eu des opportunités faciles que nous avons gâchées au grand bonheur de notre vis-à-vis qui n'en demandait pas tant. Franchement, il y a de quoi se poser des questions de voir que même en face de buts vides mes attaquants ne parviennent pas à mettre le cuir au fond des filets. Et lorsqu'on rate autant d'occasions, cela finit par se retourner contre nous, c'est la loi du football, n'est ce pas ? Nous venons de perdre deux points dans un match qui aurait pu nous permettre de retrouver le moral et d'attaquer les rencontres à venir dans de meilleures dispositions psychologiques. C'est vraiment dommage !» Grosse déception dans les rangs clubistes La contre-performance de vendredi passé n'a laissé aucun Clubiste sans réaction en fin de partie. Et pour cause, chacun avait bien mesuré l'importance d'un tel ratage en ce moment précis. Le match du Paradou est le premier d'une série de trois rencontres que le CSC est appelé à disputer à Constantine, d'où les calculs qui ont vu le jour. Pour rappel, les camarades de Boulemdais doivent recevoir tour à tour le Mouloudia de Constantine et Merouana, ce qui fait qu'ils ne restent aux Vert et Noir qu'à bien retenir la leçon de leur semi-échec de vendredi pour espérer engranger les six points qui restent à leur portée, alors qu'ils auraient pu prétendre, en faisant le plein, à récolter pas moins de neuf unités qui leur auraient fait beaucoup de bien. Maintenant, et après ce nul face au PAC, beaucoup ont perdu l'espoir de voir leur formation revenir et c'est ce qui explique les grises mines affichées par le président Ounis et ses proches. Encore et toujours c'est… Boulemdaïs Une fois de plus, la libération est venue de la tête du défenseur central Boulemdaïs. Devant l'inefficacité de ses coéquipiers attaquants, ce dernier a pris goût à cet exercice. Et pourtant, du côté de l'entraîneur Rouas tout a été tenté avec l'incorporation de trois attaquants en lieu et place de ceux alignés d'entrée de jeu. Le déclic n'a pu avoir lieu car les Ouachem, Boukous, Amrane, Chetih et autres Derbal n'ont pu trouver la faille. Une réelle préoccupation pour le staff technique qui ne sait plus à quel saint se vouer.