Le coach Abdelkader Amrani est apparemment très en colère contre l'attaquant Adel Djabout, après une longue absence de deux mois, sans donner signe de vie. Le joueur qui a rallié Constantine ces derniers jours s'est présenté hier à l'entraînement pour travailler avec ses camarades. Mais le coach Amrani a interdit au joueur de réintégrer le groupe, même si ce dernier est totalement rétabli après avoir subi une intervention chirurgicale. Il est absent depuis le match de la 2e journée face au CABBA Pour rappel, Adel Djabout a joué son dernier match face au CA Bordj Bou-Arréridj comptant pour la deuxième journée de la Ligue 1 Mobilis. Il est rentré comme remplaçant et depuis il a subi une intervention au niveau du dos et cela fait déjà deux mois qu'il est loin des terrains et de la compétition. Le joueur était surpris en se voyant interdit d'entraînement L'enfant de Chlef a été surpris par la décision du coach Abdelkader Amrani. Djabout, qui s'est présenté au stade et a demandé au coach de l'autoriser à reprendre, a été surpris, puisque Amrani lui a signifié qu'il était interdit d'entraînement. Amrani très en colère contre Djabout D'après nos sources, Amrani qui était très en colère contre le joueur a même demandé aux membres du staff médical de ne pas le prendre en charge. C'est ce qu'ils ont fait. Amrani est très en colère contre Djabout, en lui incombant la responsabilité de ne pas l'avoir contacté pour donner de ses nouvelles. Arama a transféré son dossier à la CNAS De son côté aussi la direction du club a affiché sa colère envers le joueur. D'ailleurs, le manager général Tarek Arama compte lui faire une ponction sur salaire, tout en transférant son dossier aux services de la CNAS, du moment qu'il était à l'arrêt pendant deux mois. Amrani : «Pour moi, Djabout ne fait plus partie de l'effectif» On a eu une discussion en aparté avec le coach Abdelkader Amrani et ce dernier nous a déclaré ce qui suit à propos de Djabout : «Pour moi, le joueur Djabout ne fait plus partie de l'effectif. Puisqu'il n'a même pensé à prendre attache avec nous depuis deux mois. Le CSC est un grand club et il est plus grand que moi et n'importe quel joueur.»
Benaldjia sur les tablettes du CSC Mehdi Benaldjia, l'attaquant des Canaris du Djurdjura, qui a résilié son contrat avant-hier, est sur les tablettes des dirigeants du CSC, qui s'intéressent à ses services, en prévision du mercato d'hiver. La direction compte entrer en contact avec le joueur dans les prochains jours et ce, dans le but de le convaincre de signer au CSC dès l'ouverture du mercato hivernal. Il a résilié son contrat avec la JSK Pour rappel, le joueur a résilié son contrat à l'amiable avec la direction de la JSK avant-hier. Le joueur ne rentre plus dans les plans du coach Franck Dumas. Ce qui a poussé Mellal à inviter Benaldjia à la table des négociations pour procéder à la résiliation de son contrat. Le joueur est libre de tout engagement avant même l'ouverture du marché des transferts, le mercato d'hiver. Certaines parties l'ont proposé à Arama En prévision du mercato hivernal, des personnes proches des affaires du club constantinois ont proposé Mehdi Benaldjia, pour le recruter dans les plus brefs délais, surtout qu'il y a l'ESS qui veut l'engager. Après l'échec du recrutement de Kagambiga qui a été libéré il y a quelques jours, et Belmokhtar qui ne rentre plus dans les plans d'Amrani, le recrutement d'un attaquant est plus qu'indispensable. Amrani est séduit par ses qualités, mais… Le coach Abdelkader Amrani est séduit par les qualités techniques de cet attaquant de métier, est très intéressé par ses services, surtout qu'il n'a pas beaucoup d'attaquants qui font la différence, mis à part Belkheir et Belkacemi qui affichent la grande forme. Mais le coach Amrani est hésitant par rapport à la mentalité du joueur Benaldjia qui est difficile et là où il est passé, soit avec la JSS, le NAHD ou la JSK, il a eu des problèmes avec les entraîneurs. Il veut jouer au CSC, malgré les offres qui lui sont parvenues des pays du Golfe Mehdi Benaldjia est très emballé de porter le maillot du CSC dès cet hiver, malgré qu'il ait des contacts avec des clubs des pays du Golfe. Il y a aussi l'ES Sétif qui le veut à tout prix, puisque les dirigeants de ce club ont demandé de récupérer son numéro de téléphone pour prendre attache avec lui. Les responsables du CSC doivent activer s'ils veulent vraiment s'offrir les services du joueur qui est très intéressé par l'idée de défendre les couleurs du CSC.
Les Sanafir renouvellent leur confiance à Amrani et lui demandent d'écarter les perturbateurs et les indisciplinés Les Sanafir affichent un soutien indéfectible au coach Abdelkader Amrani. Comme ils étaient présents en force avant-hier à la séance de reprise, les supporters se sont présentés à nouveau hier au stade et ont tenu à encourager le driver du CSC. Ils lui ont renouvelé leur confiance et lui ont demandé d'écarter les joueurs qui n'ont pas donné satisfaction, les perturbateurs et les indisciplinés, pour permettre à l'équipe de rebondir et de refaire surface dès la prochaine rencontre face à la JSK. Ils ont incombé la responsabilité de cette mauvaise passe aux joueurs, qui sont les acteurs sur le terrain, du moment qu'Amrani a fait de son mieux pour réaliser les meilleurs résultats possibles. Mais à leurs yeux, les joueurs n'étaient pas à la hauteur et les ont déçus. Les Sanafir à Amrani : «S'il le faut on va renvoyer tout le monde, pour vous» Les supporters qui se sont déplacés au stade se sont entretenus avec le coach Abdelkader Amrani. Ils lui ont déclaré ce qui suit : «On est là pour vous apporter notre soutien et s'il faut renvoyer tous les joueurs, il faut le faire. On est là avec vous et quelle que soit la décision que vous prendrez on vous soutient. On sait que le problème réside chez les joueurs qui sont les acteurs sur le terrain et pas vous. C'est grâce à vous que le CSC a gagné le titre, alors que personne ne misait sur notre équipe.» Amrani leur répond : «On va vous rendre le sourire» De son côté, le coach du CSC, très ému par ces marques de soutien que lui affichent les Sanafir, a promis à ces derniers de faire de son mieux pour leur rendre le sourire. «Sincèrement, vous m'avez beaucoup touché par toutes ces marques de solidarité et de soutien envers ma personne. Je ne peux oublier ça, et je ferai mon possible pour remettre le CSC sur rails et vous rendre le sourire.»