Aussi, Djilali a la confiance de Aït Djoudi qui mise beaucoup sur ces cadres afin de bien gérer cette fin de saison qui s'annonce compliquée. Etincelant lors du match de jeudi dernier contre le NAHD, le défenseur central Djilali a repris les entraînement avec ces coéquipiers cette semaine, mais l'ex-joueur de l'USB n'a pas pu supporter les entraînements quotidiens et n'a même pas continué la séance de mardi. Mercredi, Djilali a pris part aux exercices légers sans trop forcer car il ressent toujours des douleurs au niveau des adducteurs. Malgré la longue période de rétablissement qu'il a eu dernièrement, le staff technique s'inquiète de la santé du défenseur, qui est l'un des cadres et rares éléments expérimentés de l'ASK cette saison. Aussi, Djilali a la confiance de Aït Djoudi qui mise beaucoup sur ces cadres afin de bien gérer cette fin de saison qui s'annonce compliquée. Et si ce n'était pas les adducteurs ? Les blessures continuent de mener la vie dure au défenseur de l'ASK, titulaire en début de saison avant d'être éloigné des terrains pour une période illimitée consacrée aux soins intensifs. Djilali a repris du service après la trêve hivernale et il rechute encore une fois, et sera au repos forcé pour une période de deux mois et demi. Le joueur a pris part au dernier match contre le NAHD, où il a réalisé une prestation de tout premier ordre, mais les douleurs ressenties en ce début de semaine nous ont menés à faire notre petite enquête sur la vraie blessure du Djilali. Il semblerait que le staff médical aurait fait une erreur de diagnostic, car le médecin et le kiné pensent toujours aux adducteurs. Néanmoins, ce genre de blessures n'a pas besoin de ce long rétablissement ; car pour soigner des adducteurs il suffit de laisser les muscles se reposer dans une ambiance propice à la relaxation. En fait, tous les joueurs de l'ASK ont pris la mauvaise habitude de se soigner chez eux, donc une semaine au maximum suffisait à n'importe quelle athlète, alors que Djilali prend des semaines sans se rétablir. Une pubalgie, mais le joueur le sait pas D'après une source bien informée généralement, et qui a de bonnes connaissances dans l'univers des sportifs, Djilali soufre d'une pubalgie, ce qui signifie en termes médicaux une affection douloureuse du pubis et des muscles ou tendons avoisinants. D'après notre source, les syndromes de la pubalgie sont les mêmes d'on souffre Djilali cette année, d'où les douleurs à répétition qui se ressentent dans des gestes techniques particuliers que les sportifs exercent, comme fermeture de l'angle de la jambe, tronc lors du tir, tacle, écart latéral, contre-pied…Donc, Djilali devra se rendre dans une clinique spécialisée afin d'en savoir plus sur son état de santé. L'AG extraordinaire de samedi annulée L'assemblée générale extraordinaire de samedi dernier a été annulée. La cause de cette annulation est que la séance s'était tenue sans la présence d'un huissier de justice, ce qui signifie que toutes les décisions prisent lors de cette assemblée ne sont pas valables aux yeux de la loi. Le boss khroubi a décidé de la reprogrammer pour demain, vendredi.
Tribèche : «Le huis clos est favorable à notre adversaire» La prochaine rencontre de l'ASK contre le MCO se déroulera devant des tribunes et gradins vides. Ce qui ne fait pas les affaires des camarades de Douadi qui seront amoindris de leur 12e homme ce samedi, comme nous l'a dit l'adjoint de Aït Djoudi, Tribèche: «Le huis clos n'a jamais aidé les équipes locales, c'est un arme pour les visiteurs. On jouera sans nos supporters ce samedi, ce qui va sûrement compliquer un peu plus notre tâche.»