Charaf-Eddine Amara est toujours le président de la Fédération algérienne de football : "Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai pas encore déposé ma démission auprès du secrétariat de la FAF. De ce fait, je suis toujours le président de la FAF sur les papiers. Tant que les membres du bureau fédéral de la FAF ne démissionnent pas, je resterai à la tête de la fédération », a-t-il expliqué comme rapporté par Onzemondial. Le président de la Fédération a également pointé du doigt l'arbitrage de Bakary Gassama qui aurait déconcentré les joueurs selon lui : "Les erreurs de l'arbitre Gassama ont déstabilisé les joueurs. Cette déconcentration nous a coûté la défaite à seulement 10 secondes de la fin du match", a-t-il confié. Mais à en croire Charaf-Eddine Amara, l'arbitre gambien n'a pas été aidé. La faute à des problèmes techniques qui ont empêché la VAR de fonctionner normalement en début de match, notamment après le but d'Eric Choupo-Moting, précédé selon les Algériens d'une faute sur Raïs M'Bohli : "S'agissant du premier but du Cameroun, les arbitres allemands chargés de la VAR n'avaient pas pu faire un 'replay' à temps en raison d'un problème technique. C'est la raison pour laquelle la validité du but n'a pas été revue", a-t-il assuré, toujours comme rapporté par Onzemondial. Des propos qui risquent de faire grand bruit chez les champions d'Afrique 2019.