Le groupe a besoin de sérénité. Le fait que l'entraîneur clubiste ait pu assister à la séance d'entraînement au stade Daksi dans la matinée du mercredi sans pour autant prendre en charge le travail, prouve si besoin est qu'un problème existe. Selon quelques échos, le coach s'est adressé aux joueurs pour mettre en évidence son vœu de travailler dans la transparence et qu'il reste l'unique décideur en matière d'utilisation des joueurs selon des critères que les auteurs connaissent parfaitement. Cette réaction confirme qu'un dirigeant, c'est-à-dire Boulhabib, pour ne pas le citer, a bel et bien remis en question certains choix de Khezzar en matière de titularisation d'éléments au détriment d'autres en mesure d'apporter le plus escompté. Ce qui a déplu au coach lequel a eu une discussion avec l'intéressé. Les autres membres du conseil d'administration, au courant de ce qui s'était passé, tentent de minimiser l'affaire pour ne point porter le préjudice au club qui est en course pour rejoindre l'élite et se trouve en idéale position à l'heure actuelle. Khezzar explique sa saute d'humeur L'entraîneur clubiste qui est revenu à de meilleurs sentiment, a lancé à l'adresse de ceux qui ont vite fait d'annoncer son départ qu'il était bien en place et que tout ce qui a été dit n'est que pure machination. Il a d'ailleurs dit en substance qu'il était là pour jouer l'accession en dépit d'un passage assez difficile pour le moment et que tout allait être mis en place pour y remédier. Afin d'éviter pareille rumeur le coach aurait dû tout simplement faire part de ses préoccupations dans la transparence la plus totale. En observant le mutisme, il n'a fait qu'ajouter à tout ce qui a pu se dire dans l'environnement proche du club. Sa présence lors de la rencontre amicale devant Batna, prouve que tout serait rentré dans l'ordre pour le bien du groupe. --------------------- Le groupe a besoin de sérénité Après une phase des plus positives depuis l'entame de la saison, le leader actuel semble connaître des contraintes. Il y a eu cette histoire de Batna qui a gêné la dynamique du groupe et les conséquences connues, et il y a aussi le nul concédé à Hamlaoui devant Bel-Abbès. Deux impondérables qui risqueraient de nuire au parcours du club si les dirigeants actuels, en collaboration avec le staff technique, n'arrivent pas à trouver des solutions radicales. Le moment est crucial avec le huis clos pour quatre rencontres et surtout ce déplacement à Kouba avec une ossature décimée en raison de l‘absence de Kabri, Lemaïci et Yacef. Plus de solidarité et d'engagement ne seront pas de trop chez un leader pris par le doute en prévision des joutes à venir. Coup dur pour Yacef Pour ceux qui ont assisté au dernier match du leader, la sanction infligée à l'attaquant Yacef n'est à imputer qu'à la mauvaise interprétation de l'arbitre du jour, en l'occurrence Mial. Certes le joueur a ensuite réclamé mais aller vers une sanction pareille, relève de l'absurde. Seul Mial est en droit de reconnaître qu'à l'origine de l'action, l'attaquant clubiste était dans son droit de demander la faute en sa faveur. Mais peut-on remettre en cause un coup de sifflet d'un arbitre ? Non. Pour avoir contesté, Yacef se doit de faire l'impasse sur quatre matchs, une sanction que Mial portera sur sa conscience car prise à l'encontre d'un joueur connu pour son expérience et son fair-play. MSPB – CSC sous le signe de l'amitié En réussissant à organiser une rencontre amicale, les deux formations passent un message clair à leurs détracteurs respectifs, et qui est celui de garder de bonnes relations entre vieilles connaissances. Au delà du score du match, les bienfaits sont certains pour les camarades de Z'mit avides de jouer le maximum de rencontres pour compenser ce manque de compétition qui a été à la base de leur dernière contre performance à Hamlaoui devant l'USM Bel-Abbès.