Le MCS devait gagner jeudi dernier pour espérer rester en Division 1, malheureusement pour les camarades de Ouaddah les choses ont mal tourné et c'est l'équipe locale qui a ouvert le score, Le MCS devait gagner jeudi dernier pour espérer rester en Division 1, malheureusement pour les camarades de Ouaddah les choses ont mal tourné et c'est l'équipe locale qui a ouvert le score, ce qui a poussé les joueurs de Saïda à courir vers le but de l'égalisation. Finalement, ils on fait un match nul qui n'arrange guère les affaires du MCS du moment que l'USMB a réussi à arracher un précieux point de son déplacement à Bologhine. Donc, l'écart reste le même et chaque équipe lui reste deux matchs à domicile, mais deux rencontres faciles pour l'équipe de Blida qui va recevoir le RCK, qui est déjà en Division 2, et l'ASO, qui n'ont rien affaire de ce match et la saison est bel et bien terminée pour cette équipe, ce qui hypothèque les chances MCS de rester parmi l'élite, puisque son destin n'est plus entre ses mains. Si elle veut se maintenir, elle doit gagner ses deux matchs et en même temps attendre un service du RCK ou de l'ASO pour accrocher l'USMB chez elle, une mission quasiment impossible, sauf surprise. Une chose est sûre, avec ce match nul face à l'USMH, l'équipe de Saïda a compliqué sa situation et la Division 2 est plus proche pour le MCS que pour l'USMB.
Les supporters en colère Juste après la fin de la rencontre, des dizaines de supporters se sont réunis devant la placette, située à côté du marché couvert. Tout le monde était en colère après cet énième échec de leur équipe puisque tous les espoirs ont été placés sur le match face à l'USMH. Si le MCS avait gagné, il aurait fait un grand pas vers le maintien. Mais cette équipe a coupé court à ses espoirs en réalisant juste un petit nul face à une équipe d'El Harrach qui n'a pas été un foudre de guerre. Il faut reconnaître que Saïda n'a rien montré d'intéressant pour prétendre à un succès et les supporters n'ont pas cessé de fustiger les joueurs les accusant de ne pas mouiller le maillot : «Le niveau des joueurs a été médiocre durant toute la saison alors que les dirigeants du MCS ont mis à leur disposition tous les moyens. Mieux, ils ont perçu la deuxième tranche de la prime de signature qui avoisine les 80 %. Malgré ça, ils n'arrivent pas à sortir le club de la zone de relégation.» Cette situation a provoqué la colère des centaines de supporters. Hier vendredi, il y avait beaucoup de monde au niveau de la placette. Même le lendemain du match, ils n'arrivaient toujours pas à digérer ce nul. Selon les fans, «le match face à l'USMH a été la dernière chance pour notre équipe afin de se maintenir du moment qu'une victoire aurait pu provoquer le déclic, mais les joueurs étaient incapables de revenir avec les trois points. Finalement, notre équipe paie cash le mauvais recrutement».
Cinq matchs sans victoire pour Medjadj Depuis son arrivée à la tête du MCS, l'entraîneur Medjadj n'arrive toujours pas à réaliser sa première victoire et faire sortir cette équipe de Saïda de la situation de relégation. Ainsi, près cinq rencontres, l'équipe de MCS n'a récolté. Le déclic que tout le monde attendait s'est transformé en crise au sein de ce club. A présent, tout le monde remet en cause le changement d'entraîneur dans ces moments difficiles surtout que le précédant Mechiche a fait un bon match face au CRB où il a pu ramener un précieux point, malheureusement, il a été poussé à partir et la venue de Medjadj n'a rien apporté de plus à l'équipe. Pis, MCS a un pied en Division 2.
Un nul qui a le goût d'une défaite Le MCS n'a pas pu faire mieux que de prendre un point de son dernier match face à l'USMH et tous Saïdis espéraient que les camarades de Ouaddah allaient réaliser un exploit en revenant avec une victoire à Saïda qui donnerait un grand espoir pour le maintien. Malheureusement le miracle ne s'est pas produit et l'équipe s'est contentée d'un nul qui a goût d'une défaite, puisque la formation de Blida a pu, elle aussi, arracher un précieux point face au MCA et devra jouer deux rencontres faciles chez. A. B.
