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JSK : Saïb revient sur son limogeage
Publié dans Le Buteur le 04 - 09 - 2011

«On parle d'incompétence alors que c'est avec cette même méthode que j'ai gagné le titre»
C'est avec un discours serein et tendre à la fois que le désormais ex-entraîneur de la JSK, Moussa Saïb, a décidé de répondre - lors d'un point de presse organisé hier matin à la salle de conférences de la maison de la culture Mouloud-Mammeri, moins de vingt-quatre heures au lendemain de la sortie médiatique de son président Mohand Cherif Hannachi qui l'a limogé de son poste d'entraîneur en chef de la JSK, jeudi dernier, à l'occasion de la séance de reprise des entraînements - en présentant comme arguments moult raisons. S'étant présenté devant un parterre de journalistes munis de la lettre datée du 1er septembre dernier et qui lui a été remise en main propre par le comité directeur jeudi dernier à l'entraînement, Saïb a tenu à faire lecture des trois principaux reproches que l'administration lui a notifiés par écrit et auxquels il a bien voulu réagir sans trop polémiquer par souci, comme il n'a pas cessé de le répéter tout au long de son intervention, de compliquer la situation et de plus compromettre la quiétude de son équipe la veille du début du championnat dont le premier match face au MCA est programmé pour mardi prochain à Tizi Ouzou. Il convient de rappeler que dans ses déclarations, la veille, au cours d'un point de presse organisé au siège de la JSK, le président Moh Cherif Hannachi n'est pas allé avec le dos de la cuillère à l'encontre de l'ex-international de la JSK, Saïb, auquel il a incombé l'entière responsabilité quant aux mauvais résultats enregistrés en Coupe de la CAF, voire quatre défaites consécutives, et qu'il a traité «d'incompétent». Serein, l'ex-international Moussa Saïb a tenu, d'emblée, à réagir : «Je ne vois pas comment on peut me traiter d'incompétent ou de critiquer ma méthode de travail alors que c'est avec cette même méthode que j'ai réussi il y a quatre années à propulser la JSK vers son quatorzième titre de champion d'Algérie.»
«Dans la lettre qui date du 1er septembre qui m'a été remise à l'entraînement, j'ai compris qu'on me désignait la porte de sortie»
Parlant donc de son limogeage, Saïb a révélé : «Mon départ a été préparé bien avant que je me présente à l'entraînement puisque les dirigeants du club se sont présentés au stade avec un courrier qui m'allait être remis en main propre. Je sentais qu'on ne voulait plus que je continue à la barre technique d'autant plus qu'en se présentant au stade munis d'un courrier, les responsables allaient me le signifier par écrit.»
«Personne ne m'a parlé de la réunion à la reprise, l'entraînement était prévu à 18h30. J'ignore qui a donné l'ordre aux joueurs
de descendre sur la pelouse plus tôt»
Ce qui a provoqué le divorce entre la direction kabyle et l'entraîneur en chef Saïb fut, selon les responsables kabyles, son retard de quarante minutes à la séance de reprise des entraînement et son absence à la réunion programmée au vestiaire avec les joueurs pour la présentation des vœux de l'Aïd, Saïb apportera sa version : «D'abord, je dois préciser que personne ne m'a parlé de la réunion. Je n'étais pas au courant. Concernant mon retard à l'entraînement, cela m'étonne puisque c'est moi-même qui ai programmé la séance. J'ai demandé aux joueurs de se présenter entre 18h et 18h30. Je ne sais pas qui leur a donné l'ordre de descendre sur la pelouse avant.»
«Dans le courrier, le comité directeur m'a énuméré trois reproches»
S'étant présenté à la conférence avec une copie du courrier qui lui a été remis en main propre, Saïb a tenu à faire lecture des trois points que le comité directeur lui reprochait, à savoir : «1. manque d'efforts, 2. manque de cohésion avec les autres membres du staff technique et enfin mes récentes déclarations à la presse.»
«Si on a jugé que la charge de travail n'était pas intense, c'est parce qu'il y a une raison, l'équipe est carbonisée»
«Je ne sais pas comment on me reproche le manque d'efforts alors, d'une, à ce que je sache nous travaillons normalement et nous préparons nos matches de la CAF en fonction des circonstances que tout le monde connaît. Les joueurs sont carbonisés avec tout ce qu'ils ont enduré la saison dernière. Si la charge n'est pas très élevé, c'est parce qu'il y a vraiment une raison purement technique à cela. Ça aurait été plus simple de forcer sur les joueurs mais les conséquences, tout le monde peut les deviner dès maintenant, on se retrouvera avec des joueurs blessés et on m'incombera l'entière responsabilité», explique-t-il.
«Je ne sais pas de quel manque de cohésion entre les membres du staff technique il s'agit»
A propos du second point relatif au manque de cohésion entre lui et certains des autres membres du staff technique, Saïb s'est interrogé de quelle nature de manque de cohésion il est question puisqu'il estime que le travail se faisait normalement : «Je vous assure que je n'ai pas admis qu'on me reproche un manque de cohésion avec d'autres membres du staff technique qui travaillent avec moi. Ill faut justement leur poser la question pour savoir plus sur cette affaire. Me concernant, je ne pense pas qu'il ait eu mauvaise entente entre nous.»
«Si j'ai dit que Nessakh n'est pas arrière gauche, c'est parce que le joueur lui-même m'a tenu le même langage»
Dans le troisième reproche fait à Saïb, il est mentionné ses récentes déclarations à la presse, notamment lorsqu'il s'agit d'évoquer le profil de Nessakh qu'il a révélé être beaucoup plus milieu gauche qu'arrière gauche, Saïb rétorque : «Il est vrai que j'ai dit que Nessakh est beaucoup plus un milieu gauche qu'arrière, c'est parce que le joueur lui-même m'a tenu le même langage. J'ai parlé à mon arrivée à la JSK avec Nessakh, il m'avait dit texto que son poste de prédilection est milieu gauche. Vous pouvez même vérifier mes dires et le constater de vous-mêmes.»

«C'est dans le souci de récupérer Tedjar et Metref dans un état de forme acceptable que j'ai souhaité que le match face au MCA soit décalé de 24 heures»
Concernant sa déclaration à propos du report du premier match face au MCA prévu pour le 6 septembre de 24 heures, Saïb a avancé ses raisons en déclarant : «Si j'ai émis le souhait de voir notre premier match de championnat face au MCA reporté de 24 heures, c'est pour pouvoir récupérer mes deux joueurs internationaux partis en Tanzanie avec la sélection nationale. Je ne sais pas dans quel étant de forme ils seront de retour et combien d'heures de voyage ils rallieront Tizi. C'est pour cela que j'ai souhaité bénéficier d'une journée de plus pour pouvoir compter sur eux, voilà tout.»
«Avant de partir au Congo, j'ai prévu d'organiser trois matches amicaux»
«Initialement, avant notre départ au Congo, j'ai souhaité organiser trois matches amicaux au minimum et cela servirait beaucoup les joueurs qui ne sont pas qualifiés à la CAF. Je citerai Metref, Sedkaoui, Hemani et Bitam. Une fois le match face au MCA est annoncé pour le 6 septembre, j'ai constaté que j'allais être confronté à un sérieux problème technique. C'est justement la raison principale qui m'a poussé à afficher mon vœu de voir le match décalé de
24 heures», précise-t-il.
«Si j'ai émis le vœu de voyager au Nigeria avec 13 joueurs,
c'est parce que j'ai des raisons techniques»
A propos du voyage au Nigeria avec 13 joueurs qui n'a pas été du goût de ses responsables, Saïb enchaîne : «Tout le monde sait que la Coupe de la CAF n'est pas l'objectif du club. C'est une réalité connue de tous. A ce moment-là et pour préparer l'équipe du mieux possible pour le championnat, j'ai dit qu'il valait mieux se déplacer au Nigeria avec
13 joueurs et laisser les autres au repos à Tizi se préparer pour le championnat, d'autant plus que face au Sunshine Stars, nous allons jouer notre sixième et dernier match de la phase des poules.»
«J'ai voulu imposer une certaine discipline interne pour la bonne marche du groupe. Si ça n'a pas plu à certains, ça je l'ignore»
«Moi, ma façon de travailler tout le monde la connaît. En revenant à la JSK, j'ai certes imposé une certaine discipline interne propre à mon équipe, à respecter dans le seul et unique but de la bonne marche du groupe. Maintenant, si ça n'a pas plu à certains, ça je l'ignore vraiment», regrette-t-il.
«Oui, je sais tout ce que j'ai enduré par le passé, mais si je suis revenu, c'est par amour au club»
«Je garde encore en mémoire tout ce que j'ai enduré par le passé. Des gens s'interrogeront pourquoi il est revenu alors d'autres, par contre, tiendront un autre discours en disant qu'il a tourné le dos à la JSK si jamais il arrive que je refuse la demande de revenir servir le club qui nous est très cher. Alors, ma vision des choses est la suivante. Si j'ai accepté et je suis revenu servir la JSK, c'est par amour au club pas plus», a précisé Saïb.
«Ça fait deux mois que j'ai pris l'équipe en main. Doucement, on a essayé de remettre les joueurs sur les rails»
«Cela fait exactement deux mois depuis que j'ai pris en main l'équipe. Avec les moyens dont nous disposons et de toutes les conditions et les circonstances qu'il y a, on a essayé de travailler doucement mais sûrement. Compte tenu de la situation dont j'ai hérité à mon intronisation à la barre technique, je me suis fait comme premier objectif de remettre l'équipe sur les rails», ajoute-t-il.
«Je n'ai pas compris comment il se fait que l'objectif tracé au départ a complètement changé de sens. Moi, je suis venu travailler pour le championnat»
«Ce que je n'arrive pas à saisir, c'est comment l'objectif tracé pour l'équipe a complètement changé de sens. Avant de venir, on m'a bien signifié que la JSK n'allait pas faire de la CAF un objectif principal et que c'est le championnat qui intéresse le plus la maison. D'ailleurs, si je suis venu prendre en main l'équipe avant le championnat, c'est parce que d'abord il y avait urgence, puis connaître mieux l'équipe, les joueurs davantage et de profiter de la CAF pour faire une meilleure préparation», se demande-t-il.
«La raison qui a fait que je n'ai pas signé le contrat, c'est parce que je ne suis pas revenu pour de l'argent»
Interrogé sur le fait qu'il n'ait jamais signé de contrat le liant à la JSK officiellement cela fait deux mois qu'il occupe le poste d'entraîneur en chef, Saïb a révélé : «Si j'avais procédé par malice, j'aurais pu bien exiger au préalable la signature du contrat avant de commencer ma mission, cela m'aurait certes protégé sur le plan financier particulièrement. C'est-à-dire, si aujourd'hui on décide de se séparer de moi, j'aurai au moins la garantie de partir tout en touchant mon argent. Comme je ne suis pas revenu pour de l'argent, le but était autre, je ne l'ai jamais fait.»
«Cette fois, le cœur a été pour beaucoup dans la prise de ma décision de revenir. La prochaine fois, je réfléchirai un peu plus»
A la question de savoir s'il allait répondre favorablement la prochaine fois s'il sera sollicité à revenir prendre en main les destinées techniques de la JSK, Saïb, qui semble ne pas tenir rancune, rétorquera : «Si j'ai accepté de revenir prendre l'équipe c'est parce que je ne pouvais pas refuser l'appel du cœur. La prochaine fois, je réfléchirai un peu plus avant de prendre une quelconque décision.»
«Dans la vie, le pardon existe, je ne tiendrai aucune rancune»
Et d'ajouter : «Dans la vie, le pardon existe, je ne suis pas le genre qui tient rancune, ce n'est pas parce qu'on a décidé de mettre fin à mes fonctions à la barre technique de la JSK que je changerai mon attitude et développer un autre sentiment qui n'a jamais été le mien. Je ne tiendrai aucunement rancune, le président est libre de faire ce qu'il veut s'il a constaté que je ne rentre pas dans leur politique.»
«On se permet de juger l'équipe sur le plan physique, alors qu'il y a bien un préparateur physique qui fait un bon boulot»
«Avant même le début du championnat, l'objectif pour lequel on m'a fait venir à la JSK, on commence à critiquer mon travail. A ce que je sache, je n'ai encore pas entamé la véritable mission pour laquelle je suis revenu. Aussi, on a jugé l'équipe en prétendant qu'elle travaille moins en matière de préparation. A ce que je sache, dans le staff technique, il existe bien un préparateur physique qui fait de son mieux pour préparer positivement le groupe pour le championnat. Il faut bien lui poser la question et avoir plus de détails techniques sur la situation actuelle», fait-il remarquer.
«Je n'ai rien inventé dans les exercices d'entraînement, même dans les clubs d'Europe on fait des sixtes»
«On m'a reproché quelque peu ma manière de travailler particulièrement les exercices que je propose durant les entraînements. A ce que je sache, même dans les clubs mieux huppés d'Europe, les joueurs s'exercent aux sixtes. C'est une manière pour chaque entraîneur d'évaluer aussi ses joueurs», fait-il savoir.
«Je prendrai un peu plus de recul et profiter de la chaleur familiale avant de penser à mon avenir»
A propos de son avenir, Saïb nous apprend : «Maintenant, je devrais prendre un peu de recul du monde du football pour profiter un tant soit peu de la chaleur familiale avant de penser à mon avenir immédiat. La vie d'un entraîneur est ainsi faite, je penserai après à mon avenir.»
«Je resterai toujours le supporter de la JSK. J'aime ce club, il n'appartient pas à une seule personne»
«Je ne suis pas très affecté par la décision de mon limogeage, je suis et je resterai toujours proche du club, c'est notre cher club à tous. Il n'appartient pas à une seule personne et que tout le monde sache que je ne suis pas revenu pour une seule personne, j'ai répondu à l'appel du cœur», fait-il remarquer.
«La JSK renferme un effectif qui progressera au fil des matches»
Invité à faire un commentaire à propos de l'effectif qui défendra les couleurs de la JSK en championnat à partir de mardi prochain face au MCA, Saïb dira ce qui suit : «Je peux dire que l'équipe est bonne et la qualité des joueurs en poste l'est aussi. Seulement, il y a beaucoup de travail à faire et c'est une équipe qui est appelée à progresser au fur et à mesure.»
«J'espère que je serai le dernier entraîneur qui vivra cette situation et que la valse s'arrête»
Avant de terminer son intervention, Saïb n'a pas caché son regret d'avoir quitté le navire précipitamment avant même qu'il n'entame la véritable mission pour laquelle il a été rappelé à prendre en main l'équipe première en déclarant : «J'espère que je serai le dernier entraîneur qui quittera la barre technique avant terme et que la valse s'arrête.»
«Nous sommes encore très loin du monde du professionnalisme»
En guise de conclusion, Saïb qui, après avoir fait ses preuves en tant que joueur localement ex-joueur de la JSK et ex-international, a connu le haut niveau en défendant les couleurs de plusieurs club du Vieux Continent. Il profitera de cette rencontre avec la presse pour livrer son point de vue à propos du professionnalisme selon ce qu'il a vécu par le passe. Il dira brièvement : «Je crois que nous sommes encore très loin du monde du professionnalisme.»


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