Oumamar : «Samedi, il n'y aura plus d'affaire Nessakh» L'affaire du latéral gauche Chamseddine Nessakh est toujours en suspens. Et ce, que ce soit de son club formateur, l'ASMO, mais aussi du côté de la JSK qui n'a pour l'instant pas acquit définitivement les services du joueur. Les dirigeants de l'ASMO, ainsi que l'entraîneur Cherradi, ne veulent libérer aucun joueur en prévision de la saison prochaine, vu que le club vise l'accession. Mais Nessakh n'a qu'une seule intention, celle de porter le maillot des Canaris ; et cela n'a pas été du goût de ses dirigeants, qui estiment que le joueur s'est comporté de façon ingrate. Au moment où nous mettons l'information sous presse, rien n'a été décidé quant à sa libération ou non. Toutefois, les dirigeants asémistes sont quelque peu partagés sur la question. Certains jugent que la libération du joueur serait une grande perte pour le club, tandis que d'autres voient cela comme une bouffée d'oxygène sur le plan financier, vu que le club bénéficera de son transfert. Lorsqu'on nous avons pris attache avec le président de section de l'ASMO, se dernier nous a fait savoir qu'une réunion se tiendra samedi prochain entre les dirigeants et les membres du staff technique, à leur tête Cherradi, pour trancher définitivement sur la question. Dans le cas d'un accord, Nessakh sera cédé à la JSK pour le prochain exercice. Dans le cas contraire, le joueur aura deux possibilités : soit il joue une saison supplémentaire à l'ASMO, soit il passe une année blanche. Oumamar : «Samedi, il n'y aura plus d'affaire Nessakh» Afin d'en savoir d'avantage sur l'affaire Nessakh, nous avons joint par téléphone le président de section de l'ASMO, Larbi Oumamar qui nous dira : « Pour l'instant, rien n'a été décidé. Nessakh est toujours lié par un contrat d'une saison à l'ASMO. Je vous dirai aussi qu'il n'y a pas que Cherradi qui est contre son départ, mais tous les dirigeants souhaitent le maintien de l'effectif.» Concernant l'intention du joueur qui veut jouer à la JSK, le président de section a été très ferme à ce sujet en nous déclarant : «S'il veut passer une année blanche, c'est son problème, pas le nôtre. Je vous informe qu'une dernière réunion se tiendra samedi en présence des dirigeants et des membres du staff pour trancher définitivement sur la question. Samedi, il n'y aura plus d'affaire Nessakh. Dans le cas où il ne sera pas libéré, nous présenterons nos excuses à la JSK.» A. A.