Benachour «On en profitera pour travailler encore plus» En raison des conditions atmosphériques, la Ligue a pris une décision bénéfique pour les Pacistes qui n'auront donc pas à effectuer le déplacement à Médea. Les joueurs ainsi que le staff technique semblent soulagés. En attente d'un nouveau rendez-vous, le premier responsable de la barre technique compte organiser des rencontres amicales cette semaine, afin de compenser le manque de compétition causé par cet impondérable. ---------------- Benachour «On en profitera pour travailler encore plus» Le capitaine du PAC, Brahim Benachour, nous a expliqué dans cet entretien que le sort de son équipe est entre les mains des joueurs et que chacun doit donner le meilleur de lui-même pour que le PAC rebondisse. Le match face à Médéa vient d'être reporté encore une fois, un commentaire? Nous étions sûrs qu'il allait être reporté vu les conditions climatiques à Médéa. De notre part, on est soulagé car ça nous évite un long déplacement pour rien, comme ce fut le cas lors du premier match reporté. Ce report vous arrange-t-il ? Ecoutez, le PAC est en train d'effectuer la pire saison de son existence, on est en manque de points. Le report nous arrange d'un côté, car ça peut permettre d'effectuer des préparations spéciales et être prêts sur tous les plans. Mais d'autre part, on voulait jouer cette rencontre car on a la rage de vaincre qui règne au sein du groupe. On n'a pas beaucoup le choix. Vous êtes donc confrontés à une trêve obligatoire, comment vous la gérez ? On a profité de cette trêve pour renforcer le travail, notamment le travail physique. Vu le manque de compétition que ça nous cause, on tentera de compenser par des matches d'application en attente de programmer des rencontres amicales. Comme je viens de vous dire, notre situation nécessite des préparations spéciales pour chaque rencontre. En parlant de la situation du PAC, comment comptez-vous vous en sortir ? Avec le travail, on doit redoubler d'efforts, car le PAC ne mérite pas cette mauvaise place au classement général. Pour le moment, je pense que notre sort est entre nos mains, et c'est à nous de sortir notre club du fond du trou.