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Feghouli : «Le match de Banjul ? Je suis impatient d'y être»
Publié dans Le Buteur le 25 - 02 - 2012

«Je promets une chose aux Algériens : je mouillerai le maillot de mon pays quelles que soient les conditions du match»
«Le football algérien sera reconnu par ses résultats, pas par ses joueurs»
Si l'on devait résumer le caractère de Sofiane Feghouli en deux mots, après notre troisième entretien avec lui depuis qu'il a décidé de jouer pour l'Algérie, ce serait : humilité et maturité. Ce garçon d'à peine 21 ans a évité intelligemment, tout au long de l'entretien, les questions qui le mettaient au-devant de la scène. Pas question de se la jouer star, même s'il est fier que ses belles performances avec Valence sont largement suivies en Algérie. Vous voulez des exemples ? En voici deux : lorsqu'on lui demande de nous parler de son geste technique sur Iniesta, il préfère parler de la passe d'après qui n'arrive pas à son coéquipier. Quand on lui parle de son débordement et son centre qui permet à Valence d'ouvrir la marque, il botte en touche pour dire qu'en fin de compte, son équipe a perdu. N'attendez donc pas que Feghouli aille dire qu'on va aller en Gambie pour casser la baraque et revenir avec la victoire. Non, ce n'est pas son genre. Lui, il va en équipe d'Algérie plutôt pour mouiller le maillot, tout donner sur le terrain et essayer avec ses coéquipiers de revenir avec un bon résultat. Jeudi soir, après la victoire en Europa League contre Stoke, nous avons rencontré «Soso» Feghouli en zone mixte. Il était content qu'un journaliste du bled vienne spécialement pour lui. Il nous a donc proposé d'aller en ville pour discuter tranquillement autour des «tapas», les plats typiquement espagnols dont raffolent les gens simples. Comme Feghouli, comme les Algériens. Et ça a donné cet entretien.
Rassurez-nous Sofiane : le coach vous a mis sur le banc juste pour vous permettre de souffler, ce n'est pas votre place de titulaire qui est remise en cause, n'est-ce pas ?
(Il sourit timidement) Non, non. Le coach a un groupe élargi, un groupe de qualité sur lequel il peut compter. Les joueurs qui étaient alignés ont d'ailleurs bien joué. L'essentiel est que l'équipe continue à être performante comme ce soir avec cette qualification en Europa League.
A Barcelone, par contre, l'équipe n'a pas été performante…
C'est vrai qu'on a passé une soirée difficile au Camp Nou, mais il faut reconnaître qu'en face, il y avait tout simplement la meilleure équipe du monde. Pourtant, on a bien débuté le match en ouvrant le score pour ensuite reculer, subir le match, souffrir et perdre 5 à 1. Il ne fallait surtout pas subir les contrecoups d'une telle défaite en tournant la page pour pouvoir passer à autre chose. On a réussi à le faire ce soir et c'est tant mieux pour l'équipe.
Sur le terrain, vous ne sembliez pas être impressionné par la présence de Messi, Iniesta, Fabregas et toutes les autres stars du Barça. On se trompe ?
C'est qu'il y avait de grands joueurs en face, mais sincèrement, je n'y prêtais pas attention. J'étais concentré sur mon match. Il y avait des joueurs d'un niveau supérieur, j'en conviens, et j'espère un jour faire comme eux, mais ils ont deux bras et deux jambes comme moi, je ne vois pas pourquoi je dois être impressionné.
Qu'est-ce qui vous permet de jouer avec cette insouciance face à un tel adversaire ?
Déjà, le fait d'appartenir à un club comme Valence avec ses exigences et sa pression au quotidien m'oblige à rester concentré sur mon match, avant de penser à l'adversaire qui est en face de moi. C'est vrai que le Real et le Barça sont un cran au-dessus et qu'il est très difficile de lutter contre eux, mais nous devons coûte que coûte s'accrocher parce que nous sommes aussi le FC Valence. Sur une saison, c'est dur de ne pas décrocher face à des adversaires de ce calibre, mais sur un match, on se dit que c'est possible, par conséquent, on fait tout pour que ce soit possible. Malheureusement, on n'a pas réussi à le faire mercredi dernier.
L'autre jour, Medhi Lacen nous avait dit qu'à chaque fois qu'il joue le Barça, il s'attend à passer une soirée de souffrance. Est-ce le cas pour Sofiane Feghouli ?
Il a dit ça parce qu'ils ont un jeu très fluide à une touche de balle qui fait courir l'adversaire. Les joueurs du Barça ont très peu de déchets techniques. C'est pour ça qu'avec eux, la moindre occasion qui se présente à toi, il faut la mettre dedans. Sinon, plus le temps passe et plus tu as l'impression de souffrir. A la fin des matchs contre Barcelone, on est souvent très fatigué parce qu'on court effectivement plus face au Barça.
Malgré la large défaite, vous avez quand même été la seule satisfaction de Valence avec une passe décisive, une tentative qui a failli relancer le match et quelques beaux gestes techniques…
Moi, je ne retiens que la défaite et le rendement collectif qui n'a pas marché malgré un très bon début. Durant le premier quart d'heure du match, nous avons été vraiment bons, mais après, nous n'avons fait que subir derrière. Pour ma part, j'ai essayé d'attaquer et de défendre, j'ai fait de mon mieux, quoi ! C'est vrai que l'occasion du 2 à 2 que j'ai manquée aurait pu relancer le match, mais comme je vous le disais tout à l'heure, contre des équipes comme le Real et Barcelone, il faut mettre dedans la moindre occasion qui se présente. La preuve, quelques minutes plus tard, il nous ont marqué un troisième but et ça nous a porté un coup au moral.
Racontez-nous un peu le geste technique que vous avez réussi sur Iniesta ?
(Très gêné de parler de lui-même) Iniesta est un très grand joueur. J'ai essayé de l'éliminer, ça a marché, mais il ne faut pas oublier que derrière, j'ai cherché la passe qui n'est pas arrivée à mon partenaire.
Que s'est-il passé avec Fabregas ? A-t-il fait exprès de vous donner un coup au visage ?
Je ne sais pas. Moi, je vais au pressing, et quand il essaye de se défaire de mon marquage, il me met un coup (il refait le geste de Fabregas avec la main). Je ne crois pas que ce soit intentionnel parce que Cesc lui-même s'est vite excusé en m'assurant qu'il n'avait pas fait exprès. Après, j'ai continué à jouer parce que l'arbitre avait jugé qu'il n'y avait pas faute.
Quand des joueurs comme Fabregas justement et Xavi disent au Buteur que Feghouli est en train de faire parler de lui en Espagne, qu'est-ce que cela vous fait ?
Ça m'encourage à toujours être encore meilleur, mais pour être meilleur, je dois jouer plus souvent. Des déclarations comme ça venant de joueurs de ce niveau, c'est sûr que ça motive, mais il ne faut non plus se prendre la tête. Ma devise est simple : me battre tous les jours à l'entraînement pour pouvoir jouer et tout donner sur le terrain pour être meilleur à chaque match et atteindre un jour le très haut niveau. Je ne me mets pas de limites.
Depuis que vous avez été convoqué en équipe d'Algérie en novembre, vos moindres gestes sont guettés par les Algériens. On a remarqué, par exemple, que vous vous êtes prosterné après le but face à Gijon, que vous levez la main au ciel avant chaque match…
Ça a un rapport avec ma religion comme vous devriez le savoir et, pour moi, la religion c'est très personnel, très intime. Je préfère donc ne rien commenter sur mes gestes.
Ça doit quand même motiver, non ?
(d'un ton ferme, mais toujours avec le sourire) C'est quelque chose de personnel et je n'ai pas envie d'en parler.
Vous avez toujours dit qu'avant de venir en sélection, vous deviez être vraiment prêt. On peut dire que c'est le cas à la veille de votre premier match officiel avec les Verts, avec les matchs que vous enchaînez en Liga et en Europa League ?
Je l'avais dit surtout lorsque j'étais blessé au genou. Je ne pouvais quand même pas débarquer en sélection en n'étant pas à 100 % de mes moyens, donc incapable d'apporter un plus à la sélection, alors que d'autres joueurs avaient participé aux éliminatoires et hissé la sélection jusqu'en Coupe du monde. J'ai dit à cette époque que je viendrai en équipe d'Algérie lorsque je serai en pleine possession de mes moyens. Aujourd'hui, je suis en pleine possession de mes moyens et j'espère que cela me permettra d'apporter un plus à la sélection.
Avec Valence, les matchs s'enchaînent à un rythme effréné. Est-ce que, dans un coin de votre tête, il y a le match de Banjul ?
Pour être honnête avec vous, je n'ai pas eu le temps de penser à la sélection ces derniers temps et je vais vous dire pourquoi : on avait des matchs très importants entre Liga, Coupe du Roi et Europa League et je devais à chaque fois me concentrer sur un match, puis me concentrer de nouveau sur un autre. Il ne fallait surtout pas se disperser, car il faut être à 100 % à chaque fois, car chaque match est très important. Quand je fais un truc, j'aime le faire à fond pour ensuite passer à autre chose. Chaque chose en son temps, comme on dit.
Quand est-ce que vous allez commencer à penser au match de Banjul ?
Juste après le match de championnat contre le FC Séville (dimanche 26 février à Mestalla, ndlr).
Un stage de courte durée, une seule séance d'entraînement pleine avant le match, des conditions difficiles… Est-ce que Feghouli a des appréhensions par rapport à ces impondérables, lui qui n'a jamais joué en Afrique ?
C'est vrai que c'est ma première sélection, c'est vrai aussi que je ne connais pas encore l'Afrique, mais je ferai abstention de tous ces paramètres en me donnant à fond. Défendre le maillot de l'équipe d'Algérie sera ma plus grande motivation en Gambie. J'imagine qu'il y aura un stade plein derrière son équipe, mais avec mes coéquipiers de la sélection, on saura faire abstraction de tout ce qui se déroule à l'extérieur du terrain pour revenir avec les trois points.
On sait que vous vous informez beaucoup sur l'Equipe nationale à travers la presse. Quand vous entendez parler de l'hostilité du stade et du terrain de Banjul, qu'est-ce que cela vous fait ?
Je n'ai jamais connu la Gambie et je ne sais pas ce qui va se passer là-bas, mais je sais une chose : je vais en Gambie pour jouer mon football et mouiller le maillot. J'ai eu la chance de jouer dans de grands stades, contre de grandes équipes, mais cela ne m'a jamais empêché de me concentrer sur mon sujet et de faire abstraction de tout ce qui se passe à l'extérieur. La clé du match est de se concentrer sur notre équipe et notre jeu. Le reste ne nous intéresse pas.
Qu'avez-vous ressenti lorsqu'on vous a informé à Valence que vous étiez convoqué par la sélection de votre pays ?
L'honneur et la fierté. J'espère être à la hauteur de tous les espoirs placés en moi par les supporters de l'équipe d'Algérie. Qu'ils sachent que je vais me donner à fond pour faire honneur à l'Algérie.
Comment a-t-on réagi à cette convocation à Valence ?
Tout le monde m'a félicité. Cela leur a permis d'apprendre un peu plus sur la sélection algérienne. On m'a demandé, par exemple, quels sont les autres joueurs de la sélection algérienne. Ils connaissent les joueurs de la Liga, mais pas très bien les autres joueurs.
Parmi les joueurs de la sélection, Hassan Yebda vient de se blesser gravement. Qu'avez-vous ressenti en apprenant cette triste nouvelle, vous qui êtes passé par là lorsque vous jouiez à Grenoble ?
Ça m'a vraiment touché. Ma première réaction a été de lui envoyer un texto pour lui souhaiter un prompt rétablissement. J'espère qu'il tiendra le coup et qu'il reviendra vite sur les terrains.
Même si vous ne pensez pas beaucoup au match de Banjul, on vous sent impatient d'y être…
Oui, je ne vous cache pas que je suis impatient d'être à Paris pour rejoindre le groupe, mais je suis beaucoup plus impatient de commencer l'aventure avec un bon résultat à Banjul pour enclencher une dynamique de bons résultats.
Vos bonnes performances avec Valence et la présence de cinq joueurs algériens en Ligapermettent-elles de faire connaître le football algérien en Espagne ?
Pas vraiment.
Comment ça ?
Le football algérien ne sera reconnu que par les résultats de son Equipe nationale. Si, au bout des prochaines éliminatoires, il y a une qualification à la prochaine CAN et une autre en Coupe du monde, le football algérien sera connu, pas seulement en Espagne, mais partout dans le monde.
Entretien réalisé à Valence par
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Nassim, 7 ans, est venu spécialement de Paris pour Feghouli
Sofiane Feghouli n'était pas seul à Valence cette semaine. En plus du Buteur et de son agent, il y avait trois amis venus spécialement pour le voir. L'un de ses potes a ramené son fils sur insistance de ce dernier. Nassim, puisque c'est de lui qu'il s'agit, n'a que 7 ans, mais il a tenu à faire le déplacement jusqu'à Valence pour voir tonton Sofiane de très près. Durant tout le match face à Stoke, il n'avait d'yeux que pour Feghouli. «Vous allez voir, dès qu'il rentre, il va marquer», a-t-il répété. Le lendemain, il était au centre d'entraînement et a testé ses capacités de footballeur en herbe avec «tonton Sofiane» sur l'un des terrains d'entraînement du FC Valence. Détail important, Nassim portait le maillot du Red Star de Saint-Ouen, l'équipe où Sofiane a débuté sa carrière de footballeur. Peut-être un signe du destin, sait-on jamais !
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Soldado sélectionné par Del Bosque, c'était l'évènement à Valence
Depuis le début de saison, les journalistes de Valence n'ont eu de cesse de mettre la pression sur Vicente Del Bosque pour qu'il convoque Roberto Soldado, le buteur valencien. Ils avaient trois arguments : la méforme de Torres, la blessure de David Villa et la forme de Soldado. C'est dire qu'hier, au centre d'entraînement de Valence, on était impatients de connaître la liste des joueurs convoqués par Del Bosque pour le match amical face au Venezuela mercredi à Malaga. Vers 12h 30, on entendait depuis l'extérieur un brouhaha venu du restaurant où les joueurs déjeunaient. Jordi Alba est venu annoncer à tout le monde que Soldado était sur la liste de Del Bosque. Tout le monde a commencé à scander le nom du capitaine du FC Valence qui est allé à la rencontre des journalistes présents, alors qu'il n'était pas prévu en conférence de presse.
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Feghouli, le plus «Espagnol» des francophones
Dans l'effectif de Valence, il y a trois francophones, les internationaux français Jérémy Mathieu et Adil Rami, et l'international algérien Sofiane Feghouli. De l'avis des confrères espagnols, celui qui se débrouille le mieux dans la langue de Cervantes c'est bien l'Algérien qui, après un an et demi seulement en Espagne, arrive à tenir sans problème une longue discussion en espagnol. Il n'aura désormais besoin de quelques stages pour nous faire un entretien en arabe. Le pari est lancé !
Feghouli supplante Pablo, même en conférence de presse
La tradition au FC Valence lors des conférences de presse d'avant-match est de ramener un grand cadre avec la photo du joueur appelé à répondre aux questions des journalistes. Hier, c'était Pablo Hernandez qui devait animer la conférence de presse, mais au moment où le responsable de communication est entré en salle de presse, tout le monde faisait grise mine. La photo était celle de Sofiane Feghouli contre un joueur de Séville, adversaire de Valence demain dimanche. Décidément, après lui avoir pris la place sur le terrain, Feghouli a pris la place de Pablo face aux journalistes. Cela n'a pas empêché Pablo de le prendre du bon côté en scrutant le cadre de son coéquipier avec un large sourire.
Les supporters de Stoke City se déchaînent à Valence
Le match Valence–Stoke a été classé à hauts risques à cause de la présence massive des supporters anglais. Profitant de la permissivité des lois espagnoles, ils ont abusé de bière (les boissons alcoolisées sont interdites dans les stades anglais). Pire encore, ils n'ont pas arrêté de lancer des pièces de monnaie en direction des supporters espagnols. Certains fans de Stoke de la tribune supérieure ont même uriné sur les supporters d'en bas. Les autorités anglaises savaient pourquoi elles ont interdit la bière dans les stades.


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