...la démission de Bougherara réputé être le meilleur des pompiers..." Le club biskri semble accuser un vrai déficit en hommes pour orienter sa destinée. La fuite de ceux qui s'étaient autoproclamés dirigeants, la démission de Bougherara réputé être le meilleur des pompiers, le départ, qui se confirme de jour en jour, du président Ali Houhou… tous ces mouvements n'annoncent rien de gai pour le club, qui continue le travail de formation en dépit de l'appétit glouton de son environnement. « Basta », disent aujourd'hui les supporteurs. Il faut changer de cap. Les hommes qui ont déjà «digéré» ce club devraient se replier et laisser place à d'autres énergies. Les figures locales affichant une indifférence envers le club qui leur a pourtant donné des galons, l'idée de recruter un nouveau président pour le football, voire même une femme à poigne, fait son chemin. Le président Eymen, dont le passage a été fièrement marqué, avait lui reconnu que «l'USB était «ouaâra». Ceux qui ont remplacé l'homme de l'accession, n'ont pas saisi le message. Naviguant à vue, ils se sont trompés de direction, au lieu de mettre le cap sur l'accession, ils ont foncé dans les ténèbres. A ces dirigeants de pacotille, la masse des jeunes fans crie aujourd'hui le mot désormais célèbre, « DEGAGE ! »