Le lutin Nassim Oussalah est affirmatif, son équipe est prête pour la reprise du championnat. Il nous en parle dans cet entretien et du match face au CABBA. Vous affronterez le CABBA à l'occasion de la première journée du championnat, comment appréhendez-vous cette rencontre ? Avec tout le sérieux voulu. On rentre dans l'ambiance de la compétition, à partir de là, la concentration est de mise. Il y a de la motivation aussi, ça se sent. Franchement, il y a un bon état d'esprit… une bonne ambiance aussi. De ce côté, il n'y a rien à dire, tout baigne, comme on dit. Vous êtes donc parés pour la reprise ? En principe ! On s'est préparés en conséquence. Les mécanismes ont été travaillés. C'est vrai qu'il y a pas mal de nouveaux dans le groupe, mais ils ont fait preuve d'une grosse envie d'adaptation. Comme je te le disais, il y a de l'envie de bien faire. On part à Bordj pour réaliser un bon résultat, c'est certain. N'y a-t-il pas une envie de laver l'affront, après le 3-2 essuyé l'an dernier sur ce même terrain ? Ce match fait partie du passé. On ne part pas avec ces considérations. L'objectif est de réaliser un bon résultat, c'est le plus important. Après, c'est vrai que nous gardons un mauvais souvenir du match de l'an passé. Cela étant, l'envie de gagner est bien là. On part, je te le disais, avec beaucoup de convictions. N'avez-vous pas des appréhensions par rapport à la qualité de l'adversaire ? Si, quelques-unes quand même. Bordj reste un adversaire coriace qui n'est jamais facile à jouer. Il laisse très peu d'espaces, ce qui fait que devant, les occasions ne sont pas légion. Toujours est-il, à chaque équipe ses faiblesses. Parfois, ça peut se jouer sur un rien, c'est comme ça. On prend les choses très au sérieux. Parlons de vous, si vous le voulez bien, dans quel état de forme êtes-vous ? Je me sens bien. Je ne suis pas à 100 % certes, ce qui est normal en cette période, mais je suis dans le coup. Il me faudra un peu de temps pour atteindre ma forme de compétition, mais toujours est-il que je me sens prêt pour la reprise. Cette saison encore, vous êtes bien parti pour vous installer sur le flanc gauche de la défense, c'est à croire que vous vous êtes stabilisé dans ce registre ?
C'est vrai. J'ai, aujourd'hui, mes repères à ce poste. Au départ, c'était pour dépanner, mais au fil des matches, j'ai appris à jouer défenseur. Peut-être que j'avais dès le départ des prédispositions pour ce poste… je ne sais pas. Tout ce que je peux dire, c'est que je m'y sens bien. Entretien réalisé par Achour Aït Ali Chasser le signe indien Depuis leur accession parmi l'élite, les Bordjiens ont toujours eu du mal à débuter la compétition, accumulant des contre-performances. A chaque fois, ce sont les entraîneurs qui en font les frais et la liste est longue à énumérer. Dans ce contexte, le dernier à avoir payé les pots cassés la saison écoulée a été Bouarrata qui a été limogé après seulement 3 journées et autant de défaites. Donc, les coéquipiers d'Ammour tenteront cette fois de chasser le signe indien en s'imposant devant une grosse pointure de la compétition qui n'est autre que la JSK, d'autant que tous les ingrédients seront présents pour la réussite d'un bon résultat qui assurera un décollage sans encombres.