L'attaquant brésilien a eu une vive discussion avec son entraîneur Luciano Spaletti, qui lui reproche des prestations insatisfaisantes. Furieux d'avoir été sorti du terrain lors de la victoire du Zénith Saint-Pétersbourg sur l'AC Milan (1-0), mardi soir, Hulk (26 ans, 8 matchs et 2 buts en championnat russe cette saison) est entré dans une colère noire. L'attaquant brésilien a eu une vive discussion avec son entraîneur Luciano Spaletti, qui lui reproche des prestations insatisfaisantes. Un différend qui pourrait amener l'un des meilleurs attaquants du monde à voir ailleurs lors du prochain mercato hivernal. «Si le club ne résout pas la situation avec l'entraîneur, je pourrais partir en janvier. Aujourd'hui, tout est possible», a confirmé en zone mixte Hulk, transféré en Russie cet été pour 60 millions d'euros. Des menaces qui n'ont pas vraiment inquiété son coach. «Il peut dire ce qu'il veut. Je l'ai remplacé car je n'étais pas satisfait de sa prestation. Et c'est mon rôle de le faire. Il a dit qu'il pourrait partir ? Je ne peux rien y faire. Moi, je reste. Je suis content des changements que j'ai fait. Je pense que sa colère est surtout due au fait qu'il a joué en-deçà de ses possibilités», a lâché Spalletti. Les souhaits du buteur de changer de nouveau de destination ne seront pas, sauf dérogation, réalisés puisqu'il a déjà joué pour deux clubs différents cette année.