Kherris : «Les départs de Ghezali et Benaï ont brouillé nos cartes» Après une période de préparation scindée en deux parties, suivie par une participation à un tournoi à Béjaïa, le Widad de Tlemcen a opté pour la concentration pour ce match qui le mènera du côté des Aurès, pour affronter le MSP Batna. Un match qui s'annonce déjà important pour les gars des Zianides qui sont appelés à réaliser le meilleur résultat possible, afin de rassurer leurs fans quant à leurs capacités de rejoindre le plus rapidement possible l'élite algérienne. Loin d'être impressionnants lors des matches amicaux, les gars des Zianides tablent sur cette reprise du championnat pour prouver que l'accession se joue lors des matchs officiels. Ainsi, les Bleu et Blanc sont appelés à réussir leur premier test face aux équipes de l'est du pays. Le WAT va devoir aborder quatre matchs consécutifs contre le MSPB, avant d'accueillir l'AS Khroub et donner la réplique à l'USM Annaba, avant de recevoir l'AB Merouana. L'attaque doit se réveiller Si le Widad de Tlemcen veut occuper très vite le peloton de tête, il doit enchaîner les bons résultats. Pour cela, l'attaque du Widad de Tlemcen, qui a manqué d'inspiration lors des matchs amicaux, est dans l'obligation de se réveiller à partir de vendredi prochain. En tous les cas, ce secteur offensif est annoncé actuellement comme le maillon faible. L'entraîneur Neghiz a peu de temps pour régler ce problème et permettre à sa ligne offensive de monter en puissance. ------------------------ Kherris : «Les départs de Ghezali et Benaï ont brouillé nos cartes» L'entraîneur adjoint du Widad de Tlemcen, Kheireddine Kherris, avoue que le problème de l'équipe réside au sein de son secteur offensif. Il pense que le départ des deux pièces maîtresses que sont Benaï et Ghezzali ont brouillé ses cartes. «Deux éléments qui avaient leur poids dans l'équipe ont laissé un grand vide, suite à leur départ. On avait peu de temps pour pallier leur départ», affirme l'adjoint de Neghiz, avant d'enchaîner : «Si leur départ s'était fait au début de l'ouverture du marché des transferts, on aurait pu trouver des solutions de rechange. Malheureusement, ça n'a pas été le cas.»