Serrar a conseillé Belhout de relire son contrat Belhout : «J'ai 3 contacts en Algérie et 4 à l'étranger» Remercié de son poste d'entraîneur en chef de l'Entente, tout juste après l'humiliante défaite concédée en Coupe de la CAF face à ENPPI, Rachid Belhout n'a toujours pas trouvé un accord avec la direction du club, concernant le montant de son indemnité. En dépit d'un second rendez-vous qui a eu lieu entre le désormais ex-entraîneur des Noir et Banc et le président Serrar dans la journée de lundi, les deux hommes campent toujours sur leur décision. Serrar a conseillé Belhout de relire son contrat Contraint de sortir par la petite porte, Rachid Belhout, qui a apparemment retenu les leçons de son premier passage à la tête de l'Aigle noir, ne compte pas s'en aller les poches vides. En effet, il a exigé 11 mois de salaire, alors que le président sétifien ne compte lui verser que 3 mois, comme mentionné dans le contrat déposé à la Ligue. Belhout a même été prié de jeter un œil sur ses documents, pour se rendre compte qu'il ne pourra jamais toucher une somme pareille. Belhout : «J'ai 3 contacts en Algérie et 4 à l'étranger» Malgré l'amère déception de ne pas avoir pu poursuivre l'aventure à la tête de l'Entente, le coach Belhout n'a pas perdu pour autant l'envie de travailler sous d'autres cieux. En effet, il nous a confié qu'il a d'ores et déjà reçu 3 contacts sérieux en Algérie et quatre à l'étranger, (Tunisie, pays du Golfe, un pays d'Afrique et un dernier en Belgique), sans pour autant choisir sa future destination. «Je suis victime de hogra» Avant de finir, et sans pour autant vouloir revenir sur les raisons exactes de son limogeage de son poste d'entraîneur, Belhout semble toujours affecté par la décision de ses ex-employeurs, en clamant qu'il est victime d'une grande injustice, tout en étant un homme fier qui marche toujours la tête haute à Sétif, au vu de ce qu'il a fait pour le club sétifien. S.B.