Les négociations entre le gouvernement algérien et le géant allemand de l'automobile Mercedes-Benz, pourraient bientôt aboutir sur l'implantation d'une usine de montage de camion et de 4x4 de la marque allemande dans la wilaya de Tiaret. Les négociations entre le gouvernement algérien et le géant allemand de l'automobile Mercedes-Benz, pourraient bientôt aboutir sur l'implantation d'une usine de montage de camion et de 4x4 de la marque allemande dans la wilaya de Tiaret. C'est le site MaghrebEmergent.com qui révèle l'information. Selon lui un accord pourrait même être trouvé avant la fin de l'année en cours entre les deux parties. Pour argumenter ses propos, le journal en ligne, s'appuie sur les déclarations du directeur commercial Export France, Belgique, Afrique et Roumanie, M. Christian Galloz, a l'occasion du salon international du Véhicule industriel et utilitaire d'octobre dernier. Celui-ci avait alors souligné l'importance de ce projet pour Mercedes-Benz et réaffirmé la volonté du constructeur de finaliser les négociations avant la fin de l'année. Une réunion « déterminante » a ce sujet est par ailleurs, annoncée selon la même source, dans les prochaines semaines. Et comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, un autre géant automobile allemand aurait lui aussi manifesté son intérêt d'implanter une usine de montage de véhicules de tourisme en Algérie. Il s'agirait de Volkswagen. Rien que ça. Ce dernier aurait accepté le principe de 51/49 qu'impose la législation algérienne, même si les négociations n'en sont qu'à un stade primaire. Ceci dit, le succès de tous les partenariats entre des entreprises algériennes et Allemandes alimenterait fortement l'intérêt des constructeurs germaniques. Reste le feuilleton Renault qui suit toujours son cours, alors que les négociations entre français et algériens tardent à aboutir. Pour rappel, depuis son annonce, le projet de construction d'une usine Renault sur le sol Algérien, est déjà passé par plusieurs phases. Celui-ci a même été abandonné a un certain moment, avant qu'il renaisse de ses cendres récemment. Dans une précédente édition, notre quotidien avait révélé la résurrection du projet, à la faveur d'une nouvelle ère de relations algéro-Françaises. A cette époque, le constructeur Français était encore seul sur ce créneau. L'émergence de nouveaux concurrents pourrait selon toute vraisemblance booster les négociations, au profit d'un accord rapide.