Les jeunes promoteurs bénéficiaires des dispositifs de l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ), l'Agence nationale de la gestion de micro-crédit (ANGEM), Les jeunes promoteurs bénéficiaires des dispositifs de l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ), l'Agence nationale de la gestion de micro-crédit (ANGEM), la Caisse nationale d'assurance-chômage (CNAC) et l'Agence nationale de développement de l'investissement (ANDI) ont droit à une retraite à l'âge de 65 ans, a déclaré le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (CASNOS), M. Lemaï Abdelouahab. Ce responsable a souligné que « les jeunes promoteurs, affiliés à la CASNOS, perçoivent une pension de retraite à partir de l'âge de 65 ans, au même titre que les autres travailleurs non-salariés». M. Lemaï a indiqué que « la valeur de cette pension est fixée par rapport montant de la cotisation du concerné, calculée sur les 10 meilleures années d'activité». Il a expliqué que « les travailleurs non-salariés, exerçant pour leur propre compte, dont les jeunes promoteurs et leurs ayant droits affiliés à la CASNOS bénéficient de deux sortes de prestations, à savoir la retraite et l'assurance sociale». S'agissant de l'assurance sociale, M. Lemaï a expliqué qu'il s'agit de prestations en nature sur l'assurance maladie, remboursement des frais médicaux et pharmaceutiques (maladie/maternité), en plus de l'assurance invalidité (incapacité de poursuivre l'activité après un accident ou une maladie) ainsi que le capital décès. L'assurance invalidité, qui est une pension mensuelle d'invalidité calculée sur l'assiette des cotisations de l'affilié, est destinée à l'assuré dans le but de compenser le revenu perdu. Par ailleurs, et dans le souci de faciliter les modalités de versement de la cotisation, des mesures d'allégement ont été introduites par la CASNOS au profit des jeunes promoteurs.