KPMG Algérie, cabinet international spécialisé dans l'audit et l'accompagnement de l'investissement audite, actuellement de grands groupes économiques tels que Cevital (KPMG, certifie les comptes du groupe), Sonatrach et le Crédit populaire algérien, actuellement proposé à la privatisation. KPMG Algérie assiste ses clients à tous les niveaux de leur développement, de la décision d'investir jusqu'à la certification internationale de leurs comptes, en passant par l'assistance, au rachat d'entreprise et la mise en place d'un business plan. Les exposés faits par les experts du cabinet KPMG ont été suivis avec attention vu leur adaptation avec des crises récentes et des scandales qui ont eu lieu dans le monde de l'entreprise et de la finance. Axées sur "les enjeux de la corporate governance et du contrôle interne", les interventions ont traité des crises et faillites d'entreprise (Enron, Parmalat, Shell, Worldcom), la solution corporate governance, les réglementations, le contrôle interne et l'audit interne. L'audit interne dans divers secteurs a été abordé par les spécialistes de KPMG qui insistent sur le rôle de l'entreprise qui se doit de mettre en place un système efficace de surveillance et de contrôle (information financière et comptable, opérations réalisées par l'entreprise et l'activité des dirigeants). Ce système doit s'appuyer sur les outils que sont le contrôle interne pour protéger les actifs de l'entreprise et s'assurer de ses performances et l'audit interne qui permet d'évaluer la conformité et la pertinence du système de contrôle interne ainsi que la réalisation de missions de vérification des comptes ou de la gestion. Tous les responsables sont concernés par la qualité des contrôles développés au sein de leur entreprise afin d'éviter, sinon limiter, les risques de défaillance et optimiser l'efficacité des opérations " Il ressort clairement que le dynamisme de l'économie algérienne tiendra pour une bonne part de la santé des PME/PMI. Ils ont les idées et le savoir-faire, mais il leur faut le financement pour les faire éclore et prospérer. Il ne s'agit pas que de quelques entreprises mais d'une couche sociale. Les banques sauraient-elles répondre à cet appel ? C'est tout l'enjeu des réformes actuelles. Il leur faut des organisations, des outils et des analystes bien formés pour y répondre. Mais il leur faut aussi la fiabilité des informations, celles-ci ne seront crédibles et utilisables que si la banque a confiance. Compétence, financement et confiance. Ces trois thèmes sont à développer et à réaliser. KPMG Algérie est prêt à assumer sa part de responsabilité pour créer la confiance " affirme son P-DG