A moment où la question de la fiscalité locale est rappelée à l'actualité par l'Etat, il est pour le moins paradoxal que plusieurs zones d'activités restent inexploitées. A Berrouaghia, deux espaces viabilisés totalisant 71.031 m2 sont laissés en friche ; dans la commune de ksar El-Boukhari, c'est une superficie de 240.661 m2, alors qu'à Beni-Slimane 156.870 m2 subissent le même sort au même titre que 36.131 m2 au niveau de ouzera. Cela, au moment où des sommes colossales sont englouties, par-ci et par- là pour accompagner l'effort de relance économique entreprise par l'Etat. Véritables pôles d'attraction économique, à bonne plus value, ces zones d'activités interpellent les autorités locales. A.Missoumi