La contribution au processus de développement, actuellement géré selon les normes de l'économie de marché, a besoin d'opérateurs prospères et engagés afin de tirer la croissance, l'innovation et la production nécessaires à la création de richesses. L'effort global déployé par l'Etat amène à identifier l'ensemble du potentiel économique et à fixer les objectifs conçus spécifiquement à des buts plus rentables. Cette opportunité offerte à tous est un moyen viable surtout pour la création de nouveaux emplois, mais aussi à multiplier les activités plurielles, de protection sociale. Il s'agit, pour le moment et dans le cadre de la mise en œuvre du programme quinquennal 2010/14, de verser dans la solidarité de l'action afin d'entreprendre des activités réduisant les parcelles de précarité tant économique que sociale. Cette visibilité sur laquelle le président de la République a mis l'accent, devrait être plus large et plus répandue afin qu'elle soit entendue et suivie par les élites nationales responsables et acteurs de l'économie nationale. Ces racines doivent également être prolongées en direction de toutes les régions du pays, appelées elles aussi à bénéficier de cet essor économique, social et culturel. Les choix courageux et la mise en place de cette politique de franchise économique est une solution qui commande à réfléchir plus en avant, et rebâtir une relation responsable entre l'Etat et l'ensemble des opérateurs économiques publics et privés, afin que l'effort partagé puisse résider dans la signification et la stabilité des normes qui sont imposées à la promotion économique et sociale. Ce qui semble aussi important, cette libéralisation du marché ne devrait pas stagner dans le " factice " ou l'abstrait, mais conduite dans la voie d'une révision à un niveau reposant sur des critères pérennes. Une approche qui est à même de permettre de réformer profondément et de rationaliser le développement et l'économie à la fois. Dans cette marche, la croissance économique accélérée, l'adaptation de l'économie aux modulations de l'économie mondiale et le développement humain sont aussi trois défis majeurs à relever. Pour ce faire, le secteur privé aura à s'y mettre grâce à toutes les incitations de l'Etat, à diversifier ses produits. La construction d'un avenir pour les générations futures se fait aujourd'hui à travers la consolidation et le renforcement du " goût " de la culture de l'intérêt national et s'orne avec des investissements et des stratégies de développement fiables et volontaires, c'est-à-dire à utiliser cette phase dans son propre contexte, à l'intention des populations et dans leurs propres intérêts. L'Etat, en s'obligeant à créer cet esprit, a forcément en réflexion de " codifier " le signe d'aller à toutes les extrémités très utiles afin de permettre à tous d'accéder à cette formelle base nourrie d'un " bien naturel ". Dans ce sillage à remodeler tout l'édifice et à orienter la société vers une organisation de nature à être en possession de tous les sens qui prennent les choses de plus en plus haut, une des caractéristiques de la politique actuelle, c'est la consistance avec laquelle des tâches méthodiquement établies afin de bouleverser, d'accumuler et d'administrer un véritable " collectif " d'évolution de formes qui s'allongent tout droit vers l'amplification et l'affirmation fondamentale de cette façon la plus convaincante des sujets qui secouent le magnifique équilibre de ces formes puissantes à moderniser la société. C'est peut-être l'heure de qualifier ce temps de véritable " renaissance nationale ". Avec le programme quinquennal en vigueur, c'est déjà beaucoup d'avantages qui s'annoncent pour virer à une grandeur immense. Et le programme présidentiel a bien des raisons d'ouvrir la contribution à tout le monde pour " réussir " ce quinquennat, une détermination qui domine son temps comme son expérience au service du peuple, et ce à un moment où toutes les préoccupations s'éclairent avec plus de responsabilité dans leur compte. C'est le même paradoxe d'un programme vivant parvenant avec sa stratégie propre à "communiquer" aux populations le sentiment d'une aussi grandiose équivalence économique et sociale. Cette probité de développement est d'ordinaire à deviner avec le sentiment de la foi en cette " surface " complètement éclairée par le programme présidentiel, formidable exemple de développement, ou plutôt d'économie en action, dans l' " entrelacs " d'une œuvre quasi populaire, avec cette volonté de plus en plus pure au profit de l'ensemble de la Nation.