Face à la confirmation par le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, samedi sur les ondes de la radio chaîne 3, de l'abandon par le gouvernement de la loi criminalisant le colonialisme, initiée par un député du FLN et réclamée par de nombreux députés de la mouvance islamo-conservatrice, la fondation du 8 Mai 1945, ainsi que toute la famille révolutionnaire, les partis politiques et personnalités qui ont adhéré et soutiennent l'initiative de concrétisation de ce projet historique, s'estimes déçus des propos du président de l'Assemblée nationale. A ce titre, ils déclarent que " ….c'est à la mémoire de ceux tombés aux champ d'honneur que nous revendiquons haut et fort notre droit à la vérité…. ".