La préservation du pouvoir d'achat des citoyens continue de faire l'objet d'une attention croissante au cours de ces dernières années en tant qu'espace de forte protection sociale. Image nouvelle de cette Algérie en mouvement et posant les bases d'une société mieux équilibrée et plus moderne cette politique sociale met en évidence tous les atouts qui " s'étoilent " vers les populations. Au titre de celle-ci, le projet de loi de finances 2011, vient de gagner en dispositions législatives en ce qui concerne la solidarité sociale, prônant "la préservation du pouvoir d'achat des citoyens en ne proposant aucune mesure de hausse d'impôts ou de taxes " à savoir que les mesures proposées "visent à moderniser davantage les procédures fiscales au profit des contribuables". Un nouveau cadre juridique qui encourage dans son essence la défense du pouvoir d'achat des citoyens. Les fondements de ces mesures conduisent également à une mise à niveau sociale et surtout à ne pas faire porter de nouveaux fardeaux au contribuable. Elles traduisent un sentiment clair de ne pas perdre pied socialement et de se tourner carrément vers des leviers sociaux concrets pour changer le vécu et le niveau de vie du citoyen. L'augmentation, depuis quelques années, du pouvoir d'achat illustre les conséquences de l'économie de marché. Face à cela, l'Etat a pris sa responsabilité historique fournissant aux citoyens les moyens d'une prise sur leur vécu avec le maximum d'aisance. Ce soutien efficace qui ne manque ni de stratégie ni de vision, a plus tendance à lancer des impacts sociaux générateurs de bien-être cela explique que les fractures sociales connues sont dans leur profondeur et leur nature, prises en charge par l'Etat. Sur cette question, le budget de l'Etat s'est pleinement investi à chaque exercice annuel ou complémentaire. Cette intervention continue de l'Etat a toute son importance, notamment pour défendre sans complexe le pouvoir d'achat des ménages. Le gouvernement, sous l'autorité du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, s'associe directement avec ses partenaires économiques et sociaux dans le cadre de la tripartite pour débattre de toutes les questions sociales et économiques. Un cadre organisé reposant sur des mécanismes et des éléments intrinsèques qui contribuent au cycle du développement de la politique sociale et économique, et surtout pour mieux apprécier où sont logés les vrais besoins stratégiques, où sont les enjeux sociaux décisifs. A travers cette particularité, la société algérienne parait donc "sanctuarisée" par la solidarité prônée par le programme présidentiel à travers lequel l'"arc" des transferts sociaux se développe sans arrêts, et par la même, les assurances potentielles sur les intérêts vitaux du citoyen sont plus disponibles qu'avant. En défendant avec énergie, méthode et continuité l'idée d'une société simplifiée et adaptée aux nouvelles exigences, le président Abdelaziz Bouteflika, replace le vécu et l'amélioration des conditions de vie des populations au cœur même des enjeux nationaux. L'effort considérable déployé en faveur de la rénovation sociale va se poursuivre avec plus de consistance demande la période 2010/2014 afin de basculer le citoyen dans une vraie vie sociale et dans une nouvelle croissance collective. Cet objectif fixé par le programme quinquennal dopé de fortes dépenses publiques qui cristallisent le travail, l'emploi et le pouvoir d'achat au titre d'une stratégie économique reposant sur de larges transferts sociaux, réduira sans conteste un certain nombre d'écarts sociaux. Aussi, il est évident pour l'Etat de réduire au maximum à chaque étape, les conséquences sources de la hausse du pouvoir d'achat. Cette mesure mettant en cause les incidences négatives sur le vécu des populations va toujours dans le bon sens social et économique. Une politique active, tant les montants consacrés au secteur social dans le budget de l'Etat, évoluent beaucoup plus pour parfaire le volume des acquis et de la satisfaction des besoins des populations mais aussi à consolider la réalisation des progrès stimulants le bien-être des citoyens. Cette façon de procéder pour favoriser l'aisance sociale des populations, tire en avant le mieux être. Elle est de fait, sur instruction du président de la République, l'une des tâches principales des pouvoirs publics et de la société civile, afin de développer cette politique qui garantit la qualité et l'efficacité du corps social, qui permet la créativité, la production, dans l'optique d'une vision du futur susceptible de conjuguer quatre grands axes qui intéressent la société algérienne, à savoir l'amélioration de l'offre de l'emploi, la défense du pouvoir d'achat, l'amélioration de la production alimentaire et la consolidation de la confiance politique. Il s'agit, dans ce contexte, d'élever la valeur des revenus dans tous les domaines. Ainsi, la capacité de l'Etat à combler certains déficits sociaux est de mise. Elle vient d'être prouvée par les propositions contenues dans le projet de loi de Finances 2011. Ceci explique,, une gouvernance économique plus visible, ce qui veut dire qu'avec ces nouvelles dispositions législatives il y a réalité à reconnaître l'aboutissement d'une politique sociale exponentielle. C'est là, après tout, le devoir d'une politique sociale et économique à aller de l'avant, pour un rééquilibrage dans tous les domaines de la vie des populations. Il y a très certainement un fond commun, constitué par la persistance du chef de l'Etat à ne point permettre la dégradation de la vie sociale, le règlement des problèmes économiques et sociaux, y compris la vie sociale tout court. Il ne fait pas de doute, en effet, que la base fondamentale du renouveau national du pays, la stabilité politique et sociale, est aujourd'hui manifeste pour identifier et mettre sur pied des ressources pour l'intérêt du peuple.