"L'acte de circoncision ne peut être pratiqué que par un chirurgien dans une structure sanitaire publique ou privée réunissant toutes les conditions de sécurité pour la réussite de cet acte chirurgical", souligne le ministère de la Santé de la Population et de la Réforme hospitalière dans un communiqué. Ces dispositions exclusives procèdent du souci de préserver la santé et l'intégrité des enfants concernés et sont dictées par la nécessité d'œuvrer à "éviter que ne se renouvellent des accidents douloureux qui ont transformé en deuil un acte de foi et de joie", rappelle-t-il.