La BEA vient de participer à l'augmentation du capital de l'Arab bank for investment and forgein trade (ARBIFT) à Abu-Dhabi avec l'accord et l'approbation du Conseil de la monnaie et du crédit dans sa session de juillet 2007. A noter que la banque a souscrit avec ses partenaires à l'augmentation du capital de l'ARBIFT, faisant ainsi passer cette dernière du 15e rang au top 5 des banques aux Emirats Arabes Unis lui permettant ainsi de dégager d'importantes capacités d'intervention sur les marchés et d'être prête au exigences de Bale 23 en matière de niveau de fonds propres. A noter que la Banque arabe pour l'investissement et le commerce extérieur (Al Masraf), connue sous le nom d'ARBIFT, a été créée en 1976 en joint-venture entre le gouvernement des Emirats Arabes Unis représenté par le ministère des Finances et de l'Industrie et deux banques arabes : la Banque étrangère arabe libyenne (Libye) et le Banque extérieure d'Algérie (Algérie). L'établissement est soumis à une contrainte devant favoriser la propriété collective des capitaux permanents sociaux arabes sur les marchés financiers internationaux. La banque, depuis son commencement, a activement participé à développer les investissements commerciaux à long terme sur les marchés régionaux et internationaux. La Banque arabe pour l'investissement et le commerce extérieur (ARBIFT) a été établie aux Emirats Arabes Unis en joint-venture avec la participation de trois pays arabes. Il s'agit du gouvernement fédéral des Emirats Arabes Unis avec 42.28%, représenté par le ministère des Finances et de l'Industrie. La Libye, avec la Banque étrangère arabe libyenne qui détient 42.28 % La seule banque en Libye avec un statut en mer, créée en 1972, filiale à 100 % de la Banque centrale de la Libye avec un capital autorisé 300 000 000 dinars libyens. Et enfin, l'Algérie avec la Banque extérieure d'Algérie détenant 15,44 % établie en Algérie depuis le 1er octobre 1967 et totalement possédée par le gouvernement avec 80 branches domestiques et 4 200 employés. L'établissement ARBIFT est soumis à une contrainte devant favoriser la propriété collective des capitaux permanents sociaux arabes sur les marchés financiers internationaux qui a coïncidé avec le commencement de projets d'infrastructures aux EAU, et a contribué au développement du commerce et d'autres activités commerciales dans les secteurs économiques principaux du pays.