Les deux camps rivaux en Libye vont poursuivre les négociations sur un accord de sortie de crise après la fête de l'Aïd el-Adha, qui commence jeudi, a annoncé ce soir un participant libyen à Skhirat (Maroc). "Nous sommes tombés d'accord avec la mission de l'ONU pour revenir à Skhirat après la fête de l'Aïd afin de poursuivre les négociations et régler les points en suspens", a déclaré à la presse Mohamed Ammari, membre du Congrès général national (CGN), le Parlement basé à Tripoli et qui n'est pas reconnu par la communauté internationale. La Libye est déchirée depuis un an par un conflit entre deux gouvernements et Parlements rivaux. "Aucun accord politique ne sera signé lundi ou mardi", a-t-il ajouté, soulignant que "les négociations vont se poursuivre après la fête" du sacrifice. Ni la mission de l'ONU qui supervise les négociations de Skhirat, ni les représentants du Parlement libyen de Tobrouk reconnu par la communauté internationale n'ont fait de déclaration. Bernardino Leon, l'émissaire de l'ONU pour la Libye, avait initialement fixé au 20 septembre la date limite pour parvenir à un accord sur la formation d'un gouvernement d'union nationale mais les divergences entre les deux camps ont retardé la signature d'un tel document. Les Etats-Unis et cinq pays européens (France, Italie, Allemagne, Espagne, Royaume-Uni) avaient appelé vendredi les Libyens à se mettre d'accord sur un gouvernement d'union nationale d'ici la fin septembre, afin d'ouvrir la voie à une aide économique et sécuritaire pour ce pays en proie au chaos. Les deux camps rivaux en Libye vont poursuivre les négociations sur un accord de sortie de crise après la fête de l'Aïd al-Adha, qui commence jeudi, a annoncé ce soir un participant libyen à Skhirat (Maroc). "Nous sommes tombés d'accord avec la mission de l'ONU pour revenir à Skhirat après la fête de l'Aïd afin de poursuivre les négociations et régler les points en suspens", a déclaré à la presse Mohamed Ammari, membre du Congrès général national (CGN), le Parlement basé à Tripoli et qui n'est pas reconnu par la communauté internationale. La Libye est déchiré depuis un an par un conflit entre deux gouvernements et Parlements rivaux. "Aucun accord politique ne sera signé lundi ou mardi", a-t-il ajouté, soulignant que "les négociations vont se poursuivre après la fête" du sacrifice. Ni la mission de l'ONU qui supervise les négociations de Skhirat, ni les représentants du Parlement libyen de Tobrouk reconnu par la communauté internationale n'ont fait de déclaration.Bernardino Leon, l'émissaire de l'ONU pour la Libye, avait initialement fixé au 20 septembre la date limite pour parvenir à un accord sur la formation d'un gouvernement d'union nationale mais les divergences entre les deux camps ont retardé la signature d'un tel document. Les Etats-Unis et cinq pays européens (France, Italie, Allemagne, Espagne, Royaume-Uni) avaient appelé vendredi les Libyens à se mettre d'accord sur un gouvernement d'union nationale d'ici la fin septembre, afin d'ouvrir la voie à une aide économique et sécuritaire pour ce pays en proie au chaos.