Chef-lieu de daïra englobant quatre communes, Bouchegouf, qui abrite une trentaine de milliers d'âmes, a toujours souffert d'une distribution d'eau potable aléatoire qui pénalise le cadre de vie de la population. Dans un passé récent, cette localité était alimentée par un forage qui fournissait de l'eau salée, ce qui rebutait les familles qui étaient dans l'obligation d'acheter des bouteilles d'eau minérale pour leur consommation, mais cela se répercutait négativement sur une large frange de la population, dont la situation sociale et financière était précaire. Pour trouver une solution à cette préoccupation citoyenne, les autorités locales avaient inscrit et piloté un ambitieux projet, dont la direction de l'hydraulique était maître d'ouvrage. En effet, à la faveur d'une minutieuse étude, une importante entreprise privée qui avait décroché le marché avait réalisé la concrétisation d'une conduite à partir de l'important forage de Oued H'lia, dans la périphérie de Guelma, soit un tronçon d'une quarantaine de kilomètres qui avait nécessité une enveloppe financière de plusieurs dizaines de milliards de centimes. Des équipements spécifiques et des stations de refoulement avaient été édifiés afin d'acheminer cette denrée précieuse à la population de Bouchegouf. Cette louable opération a été finalisée l'année dernière, à la grande satisfaction des autochtones qui disposent, enfin, d' une eau potable de bonne qualité. Cependant, la distribution de ce précieux liquide est confrontée à la vétusté du réseau qui subit d'importantes déperditions, ce qui engendre une insuffisance flagrante au niveau des robinets. Dans ce contexte, l'agglomération de Sidi M'hamed, les cités Naftal et des Chouhada sont pénalisées car, selon les riverains, le réseau de distribution ne répond pas à la demande croissante, car de nouveaux lotissements abritant quelques centaines de familles ont été créés ces dernières années. Une requête aurait été introduite au wali aux fins d'initier une opération de rénovation et d'extension de ce réseau. Le chef de l'exécutif a accédé à cette demande citoyenne en procédant à l'inscription de ce projet d'utilité publique. H. B. Chef-lieu de daïra englobant quatre communes, Bouchegouf, qui abrite une trentaine de milliers d'âmes, a toujours souffert d'une distribution d'eau potable aléatoire qui pénalise le cadre de vie de la population. Dans un passé récent, cette localité était alimentée par un forage qui fournissait de l'eau salée, ce qui rebutait les familles qui étaient dans l'obligation d'acheter des bouteilles d'eau minérale pour leur consommation, mais cela se répercutait négativement sur une large frange de la population, dont la situation sociale et financière était précaire. Pour trouver une solution à cette préoccupation citoyenne, les autorités locales avaient inscrit et piloté un ambitieux projet, dont la direction de l'hydraulique était maître d'ouvrage. En effet, à la faveur d'une minutieuse étude, une importante entreprise privée qui avait décroché le marché avait réalisé la concrétisation d'une conduite à partir de l'important forage de Oued H'lia, dans la périphérie de Guelma, soit un tronçon d'une quarantaine de kilomètres qui avait nécessité une enveloppe financière de plusieurs dizaines de milliards de centimes. Des équipements spécifiques et des stations de refoulement avaient été édifiés afin d'acheminer cette denrée précieuse à la population de Bouchegouf. Cette louable opération a été finalisée l'année dernière, à la grande satisfaction des autochtones qui disposent, enfin, d' une eau potable de bonne qualité. Cependant, la distribution de ce précieux liquide est confrontée à la vétusté du réseau qui subit d'importantes déperditions, ce qui engendre une insuffisance flagrante au niveau des robinets. Dans ce contexte, l'agglomération de Sidi M'hamed, les cités Naftal et des Chouhada sont pénalisées car, selon les riverains, le réseau de distribution ne répond pas à la demande croissante, car de nouveaux lotissements abritant quelques centaines de familles ont été créés ces dernières années. Une requête aurait été introduite au wali aux fins d'initier une opération de rénovation et d'extension de ce réseau. Le chef de l'exécutif a accédé à cette demande citoyenne en procédant à l'inscription de ce projet d'utilité publique. H. B.