La généralisation des centres de proximité de lutte contre la toxicomanie est, selon l'Organisation nationale des associations pour la sauvegarde de la jeunesse algérienne, une solution idoine pour approcher les jeunes en leur offrant un espace de sensibilisation convivial et surtout populaire. La généralisation des centres de proximité de lutte contre la toxicomanie est, selon l'Organisation nationale des associations pour la sauvegarde de la jeunesse algérienne, une solution idoine pour approcher les jeunes en leur offrant un espace de sensibilisation convivial et surtout populaire. Après son expérience «réussie» via le centre de prévention implanté depuis trois ans à Mohammadia, dans la capitale, l'organisation veut généraliser l'expérience au profit d'autres jeunes à travers le pays et ce, en proposant un plan national de prévention de proximité. Ce dernier s'articule sur cinq axes principaux à savoir, la formation des éducateurs, l'accompagnement thérapeutique et le développement des psycho-bus, le développement des cellules mobiles d'écoute et de prévention, la création de centres de proximité, de prévention et de psychothérapie et enfin la création de cellules de guidance des parents. Le président du conseil national de ladite organisation, M. Abdelkrim Abidat a relevé l'importance de la prise en charge des jeunes en difficulté en milieux scolaire et familial, ainsi que leur réinsertion dans le circuit social, éducatif, culturel et économique, avant-hier, lors du lancement officiel de l'année de la prévention et de la lutte contre la drogue et la toxicomanie. Le plan national de prévention de proximité pour 2010 a pour slogan «Sauvons un jeune par un jeune». M. Abidet, qui a soutenu le président de la République dans sa candidature, a expliqué que «le psychomobile est un bus qui permet aux jeunes de rencontrer des médecins, psychologues et sociologues qui s'y trouvent et discuter avec eux. Malheureusement, nous n'avons qu'un seul à l'échelle nationale». Ce même plan a, entre autres, pour objectifs, la création de centres de proximité de prévention et de psychothérapie et des cellules de guidance parentale, a expliqué M. Abidat. Un but qui relève de l'importance d'encadrer les parents étant, eux, un facteur principal dans la prévention, la sensibilisation et la prise en charge de leurs enfants. M. Abidet a, par ailleurs, préféré la création de ces centres de proximité dans les milieux populaires et non dans les centres hospitaliers et ce, pour sauvegarder l'anonymat des jeunes, encourager leur affluence et, surtout, ne pas les soigner par des psychotropes perçus eux aussi comme une forme de dépendance. Tout en appelant l'implication des pouvoirs publics et toutes les parties sociales dans cette tâche qui est la lutte contre la toxicomanie et la multiplication de centres de proximité à travers le pays, M.Abidet a souligné, au nom de son organisation : «Nous déployons des actions socio-éducatives en faveur de la jeunesse pour mieux l'intégrer dans le développement du processus social de notre pays". Chose qui se fait, selon la même source, en recherchant les canaux pouvant contribuer à la politique d'insertion des jeunes ainsi que le développement et le suivi d'actions concrètes d'accueil et d'orientation. En matière de chiffres, le premier responsable de l'organisation a indiqué que cette dernière a notamment pris en charge, depuis sa création, 1.295 jeunes touchés par des problèmes de toxicomanie, 1.490 jeunes en situation de danger moral, 12.253 jeunes en phase d'insertion à travers la formation, l'emploi et l'apprentissage, 3.000 jeunes exclus du système scolaire et 990 jeunes en situation de détresse. M. A. Après son expérience «réussie» via le centre de prévention implanté depuis trois ans à Mohammadia, dans la capitale, l'organisation veut généraliser l'expérience au profit d'autres jeunes à travers le pays et ce, en proposant un plan national de prévention de proximité. Ce dernier s'articule sur cinq axes principaux à savoir, la formation des éducateurs, l'accompagnement thérapeutique et le développement des psycho-bus, le développement des cellules mobiles d'écoute et de prévention, la création de centres de proximité, de prévention et de psychothérapie et enfin la création de cellules de guidance des parents. Le président du conseil national de ladite organisation, M. Abdelkrim Abidat a relevé l'importance de la prise en charge des jeunes en difficulté en milieux scolaire et familial, ainsi que leur réinsertion dans le circuit social, éducatif, culturel et économique, avant-hier, lors du lancement officiel de l'année de la prévention et de la lutte contre la drogue et la toxicomanie. Le plan national de prévention de proximité pour 2010 a pour slogan «Sauvons un jeune par un jeune». M. Abidet, qui a soutenu le président de la République dans sa candidature, a expliqué que «le psychomobile est un bus qui permet aux jeunes de rencontrer des médecins, psychologues et sociologues qui s'y trouvent et discuter avec eux. Malheureusement, nous n'avons qu'un seul à l'échelle nationale». Ce même plan a, entre autres, pour objectifs, la création de centres de proximité de prévention et de psychothérapie et des cellules de guidance parentale, a expliqué M. Abidat. Un but qui relève de l'importance d'encadrer les parents étant, eux, un facteur principal dans la prévention, la sensibilisation et la prise en charge de leurs enfants. M. Abidet a, par ailleurs, préféré la création de ces centres de proximité dans les milieux populaires et non dans les centres hospitaliers et ce, pour sauvegarder l'anonymat des jeunes, encourager leur affluence et, surtout, ne pas les soigner par des psychotropes perçus eux aussi comme une forme de dépendance. Tout en appelant l'implication des pouvoirs publics et toutes les parties sociales dans cette tâche qui est la lutte contre la toxicomanie et la multiplication de centres de proximité à travers le pays, M.Abidet a souligné, au nom de son organisation : «Nous déployons des actions socio-éducatives en faveur de la jeunesse pour mieux l'intégrer dans le développement du processus social de notre pays". Chose qui se fait, selon la même source, en recherchant les canaux pouvant contribuer à la politique d'insertion des jeunes ainsi que le développement et le suivi d'actions concrètes d'accueil et d'orientation. En matière de chiffres, le premier responsable de l'organisation a indiqué que cette dernière a notamment pris en charge, depuis sa création, 1.295 jeunes touchés par des problèmes de toxicomanie, 1.490 jeunes en situation de danger moral, 12.253 jeunes en phase d'insertion à travers la formation, l'emploi et l'apprentissage, 3.000 jeunes exclus du système scolaire et 990 jeunes en situation de détresse. M. A.