Partant du constat que la gestion pédagogique dans son secteur fait défaut et nuit aux résultats enregistrés annuellement, le ministre de l'Education nationale Boubekeur Benbouzid a procédé à l'installation d'un dispositif permettant de mettre l'ensemble des acteurs du secteur devant leur responsabilité et ce en assurant un contrôle quotidien des conditions de fonctionnement des établissements scolaires. Partant du constat que la gestion pédagogique dans son secteur fait défaut et nuit aux résultats enregistrés annuellement, le ministre de l'Education nationale Boubekeur Benbouzid a procédé à l'installation d'un dispositif permettant de mettre l'ensemble des acteurs du secteur devant leur responsabilité et ce en assurant un contrôle quotidien des conditions de fonctionnement des établissements scolaires. C'est ce qu'a déclaré le ministre, hier, à Alger lors d'une conférence nationale réunissant les directeurs de l'éducation des wilayas du pays et dont le but est d'apporter les correctifs nécessaires aux insuffisances, en matière de rendements pédagogiques, relevées notamment dans les wilayas du Sud, des Hauts-Plateaux et du nord du pays. Ce dispositif, qui vise principalement à s'assurer de l'assiduité des chefs d'établissement, de l'encadrement administratif et pédagogique des élèves, de celui du déroulement des programmes est réservé aux établissements secondaires. Il est attendu de ce dispositif, précise le ministre devant un parterre d'acteurs du secteur «un infléchissement de la tendance négative» des résultats enregistrés au sein des wilayas concernées et l'«amorce de meilleurs rendements pédagogiques susceptibles, de les hisser vers l'atteinte des objectifs de la reforme, au même titre que les autres wilayas». Le ministre a relevé dans son discours «une absence de rigueur dans l'accomplissement des missions à différents niveaux ainsi que l'inefficacité des structures d'inspection pédagogique et de gestion». Ce dispositif, qui s'appuie sur une vingtaine de facteurs, serait selon le ministre apte à suivre les cours de médiation et de soutien scolaire et le programme effectif d'inspection des établissements scolaires. Benbouzid a ajouté qu'une cellule centrale, animée par l'inspecteur général de la pédagogie, poste nouvellement créé, a été mise en place, pour recueillir et traiter quotidiennement les informations émanant des directeurs de l'éducation sur le fonctionnement des établissements scolaires. En seconde étape les directeurs de l'éducation des wilayas prendront en charge l'animation d'une cellule de suivi dans leur wilaya et devront transmettre quotidiennement des rapports élaborés à cet effet. En plus des directeurs d'établissements, les inspecteurs également sont sommés d'après ledit dispositif de rendre compte de leur travail à la cellule centrale. «Ce dispositif de suivi devra conduire à une plus grande implication des structures locales dans la résolution des problèmes qui altèrent le fonctionnement des établissements scolaires», a affirmé le ministre : entre autres les facteurs contenus dans ce canevas, l'absence des enseignants, les heures de rattrapage, les cours de récupération, l'absence des élèves… et beaucoupd'autres point aidant à définir le cadre général pour la gestion de l'établissement. Tout en émettant le vœu que son département soit mis au courant, via ce dispositif, de tout ce qui se passe dans son secteur, Benbouzid a affirmé recevoir régulièrement, en réunions ordinaires, les directeurs de l'éducation et les 14 inspecteurs répartis sur 11 wilayas du Sud et 3 wilayas du Nord. M. A. C'est ce qu'a déclaré le ministre, hier, à Alger lors d'une conférence nationale réunissant les directeurs de l'éducation des wilayas du pays et dont le but est d'apporter les correctifs nécessaires aux insuffisances, en matière de rendements pédagogiques, relevées notamment dans les wilayas du Sud, des Hauts-Plateaux et du nord du pays. Ce dispositif, qui vise principalement à s'assurer de l'assiduité des chefs d'établissement, de l'encadrement administratif et pédagogique des élèves, de celui du déroulement des programmes est réservé aux établissements secondaires. Il est attendu de ce dispositif, précise le ministre devant un parterre d'acteurs du secteur «un infléchissement de la tendance négative» des résultats enregistrés au sein des wilayas concernées et l'«amorce de meilleurs rendements pédagogiques susceptibles, de les hisser vers l'atteinte des objectifs de la reforme, au même titre que les autres wilayas». Le ministre a relevé dans son discours «une absence de rigueur dans l'accomplissement des missions à différents niveaux ainsi que l'inefficacité des structures d'inspection pédagogique et de gestion». Ce dispositif, qui s'appuie sur une vingtaine de facteurs, serait selon le ministre apte à suivre les cours de médiation et de soutien scolaire et le programme effectif d'inspection des établissements scolaires. Benbouzid a ajouté qu'une cellule centrale, animée par l'inspecteur général de la pédagogie, poste nouvellement créé, a été mise en place, pour recueillir et traiter quotidiennement les informations émanant des directeurs de l'éducation sur le fonctionnement des établissements scolaires. En seconde étape les directeurs de l'éducation des wilayas prendront en charge l'animation d'une cellule de suivi dans leur wilaya et devront transmettre quotidiennement des rapports élaborés à cet effet. En plus des directeurs d'établissements, les inspecteurs également sont sommés d'après ledit dispositif de rendre compte de leur travail à la cellule centrale. «Ce dispositif de suivi devra conduire à une plus grande implication des structures locales dans la résolution des problèmes qui altèrent le fonctionnement des établissements scolaires», a affirmé le ministre : entre autres les facteurs contenus dans ce canevas, l'absence des enseignants, les heures de rattrapage, les cours de récupération, l'absence des élèves… et beaucoupd'autres point aidant à définir le cadre général pour la gestion de l'établissement. Tout en émettant le vœu que son département soit mis au courant, via ce dispositif, de tout ce qui se passe dans son secteur, Benbouzid a affirmé recevoir régulièrement, en réunions ordinaires, les directeurs de l'éducation et les 14 inspecteurs répartis sur 11 wilayas du Sud et 3 wilayas du Nord. M. A.