Selon les services agricoles, la production de lait a augmenté de manière "considérable" ces dernières années dans la wilaya de Batna, atteignant 65 millions de litres en 2009 contre 17 millions de litres en 2004. Cette évolution constatée dans la production est le résultat de l'augmentation du cheptel bovin, notamment les vaches laitières, dont le nombre est passé de 16 mille à 26 mille têtes, ainsi que le développement de la pratique de l'insémination artificielle, souligne le directeur du secteur. Le recours aux races bovines non locales, grandes productrices laitières, a également permis d'augmenter le rendement moyen par vache à 3 mille litres par an et même à 5 mille litres dans certaines fermes laitières, a indiqué ce responsable. Cette filière a eu un "second souffle" en 2009 avec la création de l'Office national interprofessionnel du lait et la progression de 300 à 400 du nombre des éleveurs participant au programme de soutien à la production de lait. L'opération de collecte a enregistré une évolution constante avec l'augmentation des quantités collectées qui est passée de 4 millions de litres en 2004 à plus de 12 millions de litres actuellement, avec un total de 24 centres de collecte, affirme le même responsable, faisant état de l'entrée en phase d'exploitation, dans le cadre d'un investissement privé, d'une nouvelle laiterie, implantée dans la commune de Sériana, dotée d'une capacité journalière de 12 mille litres. Les efforts du secteur sont actuellement dirigés vers la réhabilitation des installations des fermes laitières, notamment celles des régions de Barika, Ouled Amar de Bitam et El-Djezzar qui ont fini par constituer, au cours de ces dernières années, un important bassin laitier produisant annuellement quelque 13 millions de litres. Parallèlement, la DSA encourage, selon son responsable, "de plus en plus le développement de la culture des fourrages verts pour répondre aux besoins en aliments de bétail". Entre 2004 et 2009, dit-il, la superficie des terres réservées aux cultures fourragères a grimpé de 14 mille à 27 mille hectares avec, pour conséquence, une augmentation de la production de moins de 600 mille à près de 2,20 millions de quintaux. L. N. Selon les services agricoles, la production de lait a augmenté de manière "considérable" ces dernières années dans la wilaya de Batna, atteignant 65 millions de litres en 2009 contre 17 millions de litres en 2004. Cette évolution constatée dans la production est le résultat de l'augmentation du cheptel bovin, notamment les vaches laitières, dont le nombre est passé de 16 mille à 26 mille têtes, ainsi que le développement de la pratique de l'insémination artificielle, souligne le directeur du secteur. Le recours aux races bovines non locales, grandes productrices laitières, a également permis d'augmenter le rendement moyen par vache à 3 mille litres par an et même à 5 mille litres dans certaines fermes laitières, a indiqué ce responsable. Cette filière a eu un "second souffle" en 2009 avec la création de l'Office national interprofessionnel du lait et la progression de 300 à 400 du nombre des éleveurs participant au programme de soutien à la production de lait. L'opération de collecte a enregistré une évolution constante avec l'augmentation des quantités collectées qui est passée de 4 millions de litres en 2004 à plus de 12 millions de litres actuellement, avec un total de 24 centres de collecte, affirme le même responsable, faisant état de l'entrée en phase d'exploitation, dans le cadre d'un investissement privé, d'une nouvelle laiterie, implantée dans la commune de Sériana, dotée d'une capacité journalière de 12 mille litres. Les efforts du secteur sont actuellement dirigés vers la réhabilitation des installations des fermes laitières, notamment celles des régions de Barika, Ouled Amar de Bitam et El-Djezzar qui ont fini par constituer, au cours de ces dernières années, un important bassin laitier produisant annuellement quelque 13 millions de litres. Parallèlement, la DSA encourage, selon son responsable, "de plus en plus le développement de la culture des fourrages verts pour répondre aux besoins en aliments de bétail". Entre 2004 et 2009, dit-il, la superficie des terres réservées aux cultures fourragères a grimpé de 14 mille à 27 mille hectares avec, pour conséquence, une augmentation de la production de moins de 600 mille à près de 2,20 millions de quintaux. L. N.