Les initiatives et les efforts, loin d'être négligeables, consentis par l'Agence de l'amélioration et du développement du logement (AADL) depuis l'occupation de ces cités par leurs propriétaires, sont salués à leur juste valeur par les résidants de ces nouvelles cités. Mais néanmoins les efforts concernant l'entretien et de la mise à niveau des ascenseurs, points essentiels portés sur les contrats des propriétaires et censés être assurés par l'Agence, sont jugés pour le moins insuffisants par les habitants de ces cités. Ces derniers payent pourtant mensuellement une quote part conséquente censée servir à ces menus travaux d'entretien. Force est pourtant de reconnaitre qu'une bonne partie de ces ascenseurs, pourtant tout récents, sont déjà à l'arrêt. Beaucoup de tours AADL fonctionnent actuellement avec un seul ascenseur sur les deux existants, ce qui ne manque pas d'hypothéquer, chaque jour un peu plus, les chances de survie de ces survivants. On ne peut même pas incriminer le vandalisme ou autre dépassements, les immeubles accueillant tous des gardiens logés sur les lieux et donc sans cesse vigilants pour traquer le moindre incident. La malédiction toucant les ascenseurs algérois ne vise pas uniquement ceux des tours AADL, mais touche pratiquement la totalité des élevateurs au niveau des immeubles de la capitale. Certains sont réparés au prix de lourdes dépenses pour s'arrêter quelques mois plus tard, tandis que d'autres ne servent plus depuis des décennies ; les résidants ne pouvant faire face aux frais onéreux de ces réparations ou parfois pour manque d'une pièce donnée non disponible sur le marché. Cette commodité n'est pourtant nullement un luxe, surtout lorsqu'il s'agit d'immeubles dépassant les dix étages. L'AADL lance souvent des avis d'appel d'offres pour faire face à ces pannes récurrentes, dont personne n'arrive à cerner l'origine : mauvais équipements, main d'œuvre non qualifiée... une chose reste néanmoin sûre, c'est que la formule idéale n'a pas encore été trouvée dans l'Algérois. Les résidants ont applaudi à l'idée de ces tours permettant de caser un maximum de familles dans un espace réduit, mais c'était sans compter sur ces arias contraignant les familles à de véritables exploits sportifs plusieurs fois dans lajournée. Les initiatives et les efforts, loin d'être négligeables, consentis par l'Agence de l'amélioration et du développement du logement (AADL) depuis l'occupation de ces cités par leurs propriétaires, sont salués à leur juste valeur par les résidants de ces nouvelles cités. Mais néanmoins les efforts concernant l'entretien et de la mise à niveau des ascenseurs, points essentiels portés sur les contrats des propriétaires et censés être assurés par l'Agence, sont jugés pour le moins insuffisants par les habitants de ces cités. Ces derniers payent pourtant mensuellement une quote part conséquente censée servir à ces menus travaux d'entretien. Force est pourtant de reconnaitre qu'une bonne partie de ces ascenseurs, pourtant tout récents, sont déjà à l'arrêt. Beaucoup de tours AADL fonctionnent actuellement avec un seul ascenseur sur les deux existants, ce qui ne manque pas d'hypothéquer, chaque jour un peu plus, les chances de survie de ces survivants. On ne peut même pas incriminer le vandalisme ou autre dépassements, les immeubles accueillant tous des gardiens logés sur les lieux et donc sans cesse vigilants pour traquer le moindre incident. La malédiction toucant les ascenseurs algérois ne vise pas uniquement ceux des tours AADL, mais touche pratiquement la totalité des élevateurs au niveau des immeubles de la capitale. Certains sont réparés au prix de lourdes dépenses pour s'arrêter quelques mois plus tard, tandis que d'autres ne servent plus depuis des décennies ; les résidants ne pouvant faire face aux frais onéreux de ces réparations ou parfois pour manque d'une pièce donnée non disponible sur le marché. Cette commodité n'est pourtant nullement un luxe, surtout lorsqu'il s'agit d'immeubles dépassant les dix étages. L'AADL lance souvent des avis d'appel d'offres pour faire face à ces pannes récurrentes, dont personne n'arrive à cerner l'origine : mauvais équipements, main d'œuvre non qualifiée... une chose reste néanmoin sûre, c'est que la formule idéale n'a pas encore été trouvée dans l'Algérois. Les résidants ont applaudi à l'idée de ces tours permettant de caser un maximum de familles dans un espace réduit, mais c'était sans compter sur ces arias contraignant les familles à de véritables exploits sportifs plusieurs fois dans lajournée.
