La wilaya de Boumerdès accuse un énorme déficit en matière d'infrastructures sportives. Que ce soit dans les centres urbains où les zones rurales, le manque est flagrant. Les structures sportives existantes sont loin de répondre aux exigences des jeunes, notamment les sportifs. La wilaya de Boumerdès accuse un énorme déficit en matière d'infrastructures sportives. Que ce soit dans les centres urbains où les zones rurales, le manque est flagrant. Les structures sportives existantes sont loin de répondre aux exigences des jeunes, notamment les sportifs. Sise à une vingtaine de kilomètres à l'est de Boumerdès, la commune de Si Mustapha est mal lotie en matière d'infrastructures sportives. Les projets de réalisation de salles de sports, lancés depuis des années, accusent un retard flagrant. Les structures sportives existantes sont loin de répondre aux exigences des jeunes, notamment les sportifs. Le projet de réalisation d'une salle omnisport dans cette localité, lancé au début des années 2000, est l'exemple édifiant de cette situation qui n'arrange guère la frange juvénile. Ce projet bute sur des difficultés diverses liées particulièrement aux finances. Les travaux piétinent depuis plus de quatre ans. Cette salle qui a suscité tant d'engouement parmi les jeunes de la localité se trouve actuellement à l'état d'abandon. Selon des sources communales, ledit projet a consommé déjà une somme de 28 millions. Un budget supplémentaire avait été demandé par les élus locaux, mais à ce jour, rien n'a été fait, nous-dit-on. Lors de sa visite à Si Mustapha, le wali de Boumerdès, M. Brahim Merad, avait instruit la DPAT de dégager une somme conséquente pour relancer et achever les travaux. En effet, un montant de 50 millions avait été débloqué pour relancer les travaux. «Cette salle est comme une coquille vide, la famille sportive s'indigne de cette situation qui perdure», nous dira un jeune sportif de centre ville. En outre, la salle de sport sise au village Mechiri est toujours inexploitée. Les jeunes dudit village n'en profite même pas de ce joyau que d'autres localités n'en disposent pas. De ce fait, les jeunes sont pris en otage et ne savent plus à quel saint se vouer. Ils n'ont que les cafétérias du coin pour passer leur temps. «Ces infrastructures réalisées aux dépens du Tésor public, et qui n'en profitent pas aux jeunes, semblent sans aucune utilité.» En somme, la wilaya de Boumerdès accuse un grand déficit en matière d'infrastructures sportives. Que ce soit dans les centres urbains où les zones rurales, le déficit est palpable. Il suffit seulement de faire un saut dans l'une des localités de la wilaya pour constater de visu cette réalité qui pénalise péniblement la frange juvénile. S. O. Sise à une vingtaine de kilomètres à l'est de Boumerdès, la commune de Si Mustapha est mal lotie en matière d'infrastructures sportives. Les projets de réalisation de salles de sports, lancés depuis des années, accusent un retard flagrant. Les structures sportives existantes sont loin de répondre aux exigences des jeunes, notamment les sportifs. Le projet de réalisation d'une salle omnisport dans cette localité, lancé au début des années 2000, est l'exemple édifiant de cette situation qui n'arrange guère la frange juvénile. Ce projet bute sur des difficultés diverses liées particulièrement aux finances. Les travaux piétinent depuis plus de quatre ans. Cette salle qui a suscité tant d'engouement parmi les jeunes de la localité se trouve actuellement à l'état d'abandon. Selon des sources communales, ledit projet a consommé déjà une somme de 28 millions. Un budget supplémentaire avait été demandé par les élus locaux, mais à ce jour, rien n'a été fait, nous-dit-on. Lors de sa visite à Si Mustapha, le wali de Boumerdès, M. Brahim Merad, avait instruit la DPAT de dégager une somme conséquente pour relancer et achever les travaux. En effet, un montant de 50 millions avait été débloqué pour relancer les travaux. «Cette salle est comme une coquille vide, la famille sportive s'indigne de cette situation qui perdure», nous dira un jeune sportif de centre ville. En outre, la salle de sport sise au village Mechiri est toujours inexploitée. Les jeunes dudit village n'en profite même pas de ce joyau que d'autres localités n'en disposent pas. De ce fait, les jeunes sont pris en otage et ne savent plus à quel saint se vouer. Ils n'ont que les cafétérias du coin pour passer leur temps. «Ces infrastructures réalisées aux dépens du Tésor public, et qui n'en profitent pas aux jeunes, semblent sans aucune utilité.» En somme, la wilaya de Boumerdès accuse un grand déficit en matière d'infrastructures sportives. Que ce soit dans les centres urbains où les zones rurales, le déficit est palpable. Il suffit seulement de faire un saut dans l'une des localités de la wilaya pour constater de visu cette réalité qui pénalise péniblement la frange juvénile. S. O.