Plusieurs établissements primaires dans la capitale ne sont toujours pas dotés de chauffage, ceci en dépit des instructions fermes de la tutelle à ce sujet précis. Difficile en effet d'imaginer de jeunes enfants transis arriver à se concentrer sur des cours donnés par un instituteur lui même engourdi par le froid. Plusieurs établissements primaires dans la capitale ne sont toujours pas dotés de chauffage, ceci en dépit des instructions fermes de la tutelle à ce sujet précis. Difficile en effet d'imaginer de jeunes enfants transis arriver à se concentrer sur des cours donnés par un instituteur lui même engourdi par le froid. Après les élèves de l'école Baba- Kouider à Aïn Naâdja, c'est au tour de ceux de l'école AADL à Seballa dans la commune d'El Achour, de lancer un SOS aux autorités locales leur demandant d'apporter une solution au problème de l'absence de chauffage. L'école n'a en effet et jusqu'à l'heure pas encore été raccordée au réseau du gaz de ville. Les responsables de cet établissement ont pourtant signalé, à maintes reprises, ce grave problème aux services concernés. Les parents d'élèves, eux s'inquiètent pour l'avenir scolaire de leurs enfants. "Les conditions actuelles ne favorisent nullement un bon rendement scolaire. L'absence de chauffage se répercute négativement sur la scolarité de nos enfants", nous dira un parent d'élève. Ce dernier nous expliquera qu'ils ont contacté les autorités locales, à ce sujet. Ces dernières leur ont affirmé avoir pourtant payé les frais du raccordement, selon eux le problème résiderait au niveau des services de Sonelgaz. Les parents se demandent ce qu'attend Sonelgaz pour le travail pour lequel elle a été rétribuée, d'autant que les principales victimes de cette situation sont malheureusement de jeunes enfants dont le plus âgé ne dépasse pas les 12 ans. Pour pallier cette défaillance les parents d'élèves ont cotisé avec l'ensemble des enseignants pour l'acquisition d'une douzaine de chauffages à mazout. Toutefois notre interlocuteur nous expliquera que cette solution ne peut pas durer et n'est que provisoire au vu des lourdes charges à assumer pour l'entretien et l'approvisionnement en mazout. "Nous avons tout fait pour être reçus par les services de Sonelgaz de la commune d'El Achour afin d'avoir leurs explications sur cette situation, mais tous nos efforts ont été voués à l'echec". L'amélioration des conditions de scolarisation de nos enfants au sein de tous les établissements scolaires a été pourtant pronée et même imposée par le ministre de l'Education nationale lequel, à chaque occasion, ne manque pas d'insister sur la nécessité de mettre à la disposition des élèves toutes les conditions nécessaires leur assurant une scolarisation normale. A titre de rappel à l'occasion de la rentrée scolaire 2009/2010, rappelons-le, le ministre avait tenu ces propos : "Tous les établissements scolaires dans l'ensemble du pays doivent être dotées de toutes les conditions qui puissent assurer une bonne scolarisation pour l'élève notamment le chauffage dans les classes"... En attendant que ces directives soient respectées et appliquées, les parents d'élèves à Seballa continuent à y aller de leurs poches pour permettre à leurs enfants de passer cet hiver sans trop de dommages. C. K. Après les élèves de l'école Baba- Kouider à Aïn Naâdja, c'est au tour de ceux de l'école AADL à Seballa dans la commune d'El Achour, de lancer un SOS aux autorités locales leur demandant d'apporter une solution au problème de l'absence de chauffage. L'école n'a en effet et jusqu'à l'heure pas encore été raccordée au réseau du gaz de ville. Les responsables de cet établissement ont pourtant signalé, à maintes reprises, ce grave problème aux services concernés. Les parents d'élèves, eux s'inquiètent pour l'avenir scolaire de leurs enfants. "Les conditions actuelles ne favorisent nullement un bon rendement scolaire. L'absence de chauffage se répercute négativement sur la scolarité de nos enfants", nous dira un parent d'élève. Ce dernier nous expliquera qu'ils ont contacté les autorités locales, à ce sujet. Ces dernières leur ont affirmé avoir pourtant payé les frais du raccordement, selon eux le problème résiderait au niveau des services de Sonelgaz. Les parents se demandent ce qu'attend Sonelgaz pour le travail pour lequel elle a été rétribuée, d'autant que les principales victimes de cette situation sont malheureusement de jeunes enfants dont le plus âgé ne dépasse pas les 12 ans. Pour pallier cette défaillance les parents d'élèves ont cotisé avec l'ensemble des enseignants pour l'acquisition d'une douzaine de chauffages à mazout. Toutefois notre interlocuteur nous expliquera que cette solution ne peut pas durer et n'est que provisoire au vu des lourdes charges à assumer pour l'entretien et l'approvisionnement en mazout. "Nous avons tout fait pour être reçus par les services de Sonelgaz de la commune d'El Achour afin d'avoir leurs explications sur cette situation, mais tous nos efforts ont été voués à l'echec". L'amélioration des conditions de scolarisation de nos enfants au sein de tous les établissements scolaires a été pourtant pronée et même imposée par le ministre de l'Education nationale lequel, à chaque occasion, ne manque pas d'insister sur la nécessité de mettre à la disposition des élèves toutes les conditions nécessaires leur assurant une scolarisation normale. A titre de rappel à l'occasion de la rentrée scolaire 2009/2010, rappelons-le, le ministre avait tenu ces propos : "Tous les établissements scolaires dans l'ensemble du pays doivent être dotées de toutes les conditions qui puissent assurer une bonne scolarisation pour l'élève notamment le chauffage dans les classes"... En attendant que ces directives soient respectées et appliquées, les parents d'élèves à Seballa continuent à y aller de leurs poches pour permettre à leurs enfants de passer cet hiver sans trop de dommages. C. K.