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Trois étapes stratégiques contre l'insomnie
Pour passer une bonne nuit
Publié dans Le Midi Libre le 30 - 01 - 2010

Plus de 90% des problèmes de sommeil viennent de notre mode de vie. L'insomnie peut trouver son origine dans le non respect de notre rythme de sommeil, mais bien plus souvent d'une maladie sous-jacente, comme le stress, l'anxiété, la dépression, etc.
Plus de 90% des problèmes de sommeil viennent de notre mode de vie. L'insomnie peut trouver son origine dans le non respect de notre rythme de sommeil, mais bien plus souvent d'une maladie sous-jacente, comme le stress, l'anxiété, la dépression, etc.
1ère étape, établir le bon diagnostic
La première étape consiste à faire le bon diagnostic. Le plus souvent, on ne veut pas reconnaître que l'insomnie est le symptôme d'une autre maladie comme le stress, l'angoisse ou la dépression. Or dans 80% des cas, de telles maladies sont directement à l'origine de l'insomnie.
Ce type de diagnostic effraye car il oblige à regarder les choses en face, à détecter un trouble que l'on n'a pas encore voulu reconnaître. C'est le cas typique de certaines maladies, comme la dépression masquée, qui s'installent de façon insidieuse et finissent par devenir chroniques à notre insu. Or ce sont bien ces affections qui progressivement provoquent de l'insomnie. Pour les diagnostiquer, il est important de revenir sur les premiers mois où l'insomnie a débuté et de bien observer les événements qui ont coïncidé ou précédé les troubles du sommeil.
Bien sûr, stress, angoisse et dépression ne sont pas les seules maladies qui perturbent le sommeil : cancers, apnées du sommeil, maladies organiques provoquant des douleurs, syndrome des jambes sans repos, etc. Mais là encore, le fait de les diagnostiquer et de les traiter permet généralement de régler les troubles du sommeil.
Il est conseillé de commencer soi-même cette démarche, afin de bien identifier ses symptômes. Ensuite, il faudra consulter son médecin pour évoquer avec lui les moyens adaptés pour retrouver un bon sommeil.
2e étape, rééquilibrer son hygiène de vie
La deuxième étape consiste à rééquilibrer son hygiène de vie, en commençant par respecter son rythme de vie. Le sommeil est une cérémonie qui se prépare toujours de la même façon tout au long de la journée : heures régulières des repas, pas de sport après 17h, éviter les activités stimulantes en soirée (travail, jeux informatiques, Internet, discussions animées...), dîner léger, plantes stimulant le sommeil, etc.
Ensuite, il faut bien comprendre que les heures de la nuit n'ont pas la même valeur reposante pour tous. Par exemple, certaines personnes ont besoin de dormir durant la première moitié de la nuit, car ce sont ces heures-là de sommeil qui leur sont les plus précieuses. Pour d'autres, c'est la deuxième partie de la nuit qui est bénéfique pour leur sommeil.
Il est très important de se positionner dans l'une de ces catégories car jusqu'à 80% des besoins de sommeil peuvent se situer dans l'une ou l'autre partie de la nuit.
Il faut essayer de trouver seul, ou avec l'aide son médecin, quelles sont les heures de sommeil les plus reposantes pour nous.
3e étape, reconstruire son sommeil avec son médecin
La troisième étape implique le médecin traitant. C'est avec son aide que l'on peut reconstruire son sommeil, en passant éventuellement par un traitement médicamenteux. Les médicaments existent, nombre d'entre eux sont efficaces, mais ils ne doivent pas être systématiques. D'ailleurs, nombre de médicaments qui aident à dormir ne sont pas toujours des sédatifs, mais parfois des antalgiques chez les personnes dont la douleur empêche de dormir, ou des antidépresseurs... qui traitent justement la maladie sous-jacente à l'origine des insomnies.
S. H.
1ère étape, établir le bon diagnostic
La première étape consiste à faire le bon diagnostic. Le plus souvent, on ne veut pas reconnaître que l'insomnie est le symptôme d'une autre maladie comme le stress, l'angoisse ou la dépression. Or dans 80% des cas, de telles maladies sont directement à l'origine de l'insomnie.
Ce type de diagnostic effraye car il oblige à regarder les choses en face, à détecter un trouble que l'on n'a pas encore voulu reconnaître. C'est le cas typique de certaines maladies, comme la dépression masquée, qui s'installent de façon insidieuse et finissent par devenir chroniques à notre insu. Or ce sont bien ces affections qui progressivement provoquent de l'insomnie. Pour les diagnostiquer, il est important de revenir sur les premiers mois où l'insomnie a débuté et de bien observer les événements qui ont coïncidé ou précédé les troubles du sommeil.
Bien sûr, stress, angoisse et dépression ne sont pas les seules maladies qui perturbent le sommeil : cancers, apnées du sommeil, maladies organiques provoquant des douleurs, syndrome des jambes sans repos, etc. Mais là encore, le fait de les diagnostiquer et de les traiter permet généralement de régler les troubles du sommeil.
Il est conseillé de commencer soi-même cette démarche, afin de bien identifier ses symptômes. Ensuite, il faudra consulter son médecin pour évoquer avec lui les moyens adaptés pour retrouver un bon sommeil.
2e étape, rééquilibrer son hygiène de vie
La deuxième étape consiste à rééquilibrer son hygiène de vie, en commençant par respecter son rythme de vie. Le sommeil est une cérémonie qui se prépare toujours de la même façon tout au long de la journée : heures régulières des repas, pas de sport après 17h, éviter les activités stimulantes en soirée (travail, jeux informatiques, Internet, discussions animées...), dîner léger, plantes stimulant le sommeil, etc.
Ensuite, il faut bien comprendre que les heures de la nuit n'ont pas la même valeur reposante pour tous. Par exemple, certaines personnes ont besoin de dormir durant la première moitié de la nuit, car ce sont ces heures-là de sommeil qui leur sont les plus précieuses. Pour d'autres, c'est la deuxième partie de la nuit qui est bénéfique pour leur sommeil.
Il est très important de se positionner dans l'une de ces catégories car jusqu'à 80% des besoins de sommeil peuvent se situer dans l'une ou l'autre partie de la nuit.
Il faut essayer de trouver seul, ou avec l'aide son médecin, quelles sont les heures de sommeil les plus reposantes pour nous.
3e étape, reconstruire son sommeil avec son médecin
La troisième étape implique le médecin traitant. C'est avec son aide que l'on peut reconstruire son sommeil, en passant éventuellement par un traitement médicamenteux. Les médicaments existent, nombre d'entre eux sont efficaces, mais ils ne doivent pas être systématiques. D'ailleurs, nombre de médicaments qui aident à dormir ne sont pas toujours des sédatifs, mais parfois des antalgiques chez les personnes dont la douleur empêche de dormir, ou des antidépresseurs... qui traitent justement la maladie sous-jacente à l'origine des insomnies.
S. H.


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