La mauvaise manipulation d'un extincteur, par un jeune lycéen, a provoqué, hier, une panique générale au sein d'une salle de cours au lycée Idriss de Bordj-Mira, chef-lieu de la commune de Taskriout, 50 kilomètres à l'est de la ville de Béjaïa. Le branle-bas de combat, qui a suivi cet incident, a causé selon un premier bilan, une trentaine de blessés parmi les lycéens, lesquels ont été évacués par les éléments de la Protection civile vers la polyclinique de la même localité. Alors que d'autres cas, plus ou moins graves, ont été transférés vers l'hôpital de Kherrata. Selon notre source, il y a eu plus de peur que de mal, puisque la majorité des élèves transférés vers les différentes structures sanitaires de la région, souffrent pour la plupart beaucoup plus de chocs émotionnels ainsi que de légères lésions constatées dans certains cas. D'où la nécessité d'une prise en charge psycho-médicale de ces lycéens sous le choc. Ghilès Aksil La mauvaise manipulation d'un extincteur, par un jeune lycéen, a provoqué, hier, une panique générale au sein d'une salle de cours au lycée Idriss de Bordj-Mira, chef-lieu de la commune de Taskriout, 50 kilomètres à l'est de la ville de Béjaïa. Le branle-bas de combat, qui a suivi cet incident, a causé selon un premier bilan, une trentaine de blessés parmi les lycéens, lesquels ont été évacués par les éléments de la Protection civile vers la polyclinique de la même localité. Alors que d'autres cas, plus ou moins graves, ont été transférés vers l'hôpital de Kherrata. Selon notre source, il y a eu plus de peur que de mal, puisque la majorité des élèves transférés vers les différentes structures sanitaires de la région, souffrent pour la plupart beaucoup plus de chocs émotionnels ainsi que de légères lésions constatées dans certains cas. D'où la nécessité d'une prise en charge psycho-médicale de ces lycéens sous le choc. Ghilès Aksil