L'arbitre béninois, celui qui a officié la demi-finale de la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2010) entre l'Algérie et l'Egypte le 28 janvier à Benguela en Angola, peut dire adieu à la coupe du Monde en juin prochain en Afrique du Sud. L'arbitre béninois, celui qui a officié la demi-finale de la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2010) entre l'Algérie et l'Egypte le 28 janvier à Benguela en Angola, peut dire adieu à la coupe du Monde en juin prochain en Afrique du Sud. Il a été suspendu lundi, pour une durée indéterminée, par la Confédération africaine de Football (CAF), a rapporté lundi le site du quotidien sportif français l‘Equipe. L‘arbitrage de Codjia, présélectionné avec quatre autres arbitres du continent retenus pour le Mondial sud-africain, a été jugé « scandaleux » par de nombreux acteurs du football africains qui n‘ont pas hésité, à dénoncer les agissements «peu scrupuleux» et le soupçonnent même d‘être à la «solde» des équipes égyptiennes. Cet arbitre n‘est pas sanctionné pour ce qu‘il devait l‘être. Il lui est reproché seulement, selon la même source, «de ne pas avoir exclu le gardien de but de la sélection algérienne Fawzi Chaouchi, qui l‘avait quelque peu malmené, suite au penalty accordé à l‘Egypte et transformé par Abd Rabo, lequel avait marqué un long temps d‘arrêt avant de frapper». Les autres fautes qu‘il a commises et qui ont pénalisé l‘équipe nationale algérienne et elles sont nombreuses, la CAF n‘a rien vu et rien entendu. Pour les spécialistes de la balle ronde, les vrais raisons de la suspension du référée béninois sont tout autres. La CAF, qui invoque l‘attitude déplacée du gardien algérien pour justifier cette mesure prise contre lui est battu en brèche par plusieurs acteurs de football qui considèrent plutôt que ce sont les incalculables fautes commises et son arbitrage partial en faveur des Egyptiens durant ce match qui sont à l‘origine de cette mise à l‘écart. Pour de nombreux arbitres, commentateurs sportifs et entraîneurs, Koffi Codjia a été l‘acteur principal de ce match. Il a pesé de tout son poids dans cette rencontre, où le «parti pris flagrant» pour l‘équipe égyptienne a été plus que de mesure. Il a sifflé des fautes imaginaires conduisant notamment à l‘expulsion du défenseur Halliche pour deux cartons jaunes successifs, suivi d‘un penalty, pas du tout évident, qui avait permis aux Egyptiens d‘ouvrir la marque et de se qualifier pour la finale. Continuant sur sa lancée, l‘arbitre béninois s‘était encore illustré en brandissant par deux fois le carton rouge à Belhadj et Chaouchi contribuant à donner au match un autre sens qui n‘était pas prévu au programme. L.B. Il a été suspendu lundi, pour une durée indéterminée, par la Confédération africaine de Football (CAF), a rapporté lundi le site du quotidien sportif français l‘Equipe. L‘arbitrage de Codjia, présélectionné avec quatre autres arbitres du continent retenus pour le Mondial sud-africain, a été jugé « scandaleux » par de nombreux acteurs du football africains qui n‘ont pas hésité, à dénoncer les agissements «peu scrupuleux» et le soupçonnent même d‘être à la «solde» des équipes égyptiennes. Cet arbitre n‘est pas sanctionné pour ce qu‘il devait l‘être. Il lui est reproché seulement, selon la même source, «de ne pas avoir exclu le gardien de but de la sélection algérienne Fawzi Chaouchi, qui l‘avait quelque peu malmené, suite au penalty accordé à l‘Egypte et transformé par Abd Rabo, lequel avait marqué un long temps d‘arrêt avant de frapper». Les autres fautes qu‘il a commises et qui ont pénalisé l‘équipe nationale algérienne et elles sont nombreuses, la CAF n‘a rien vu et rien entendu. Pour les spécialistes de la balle ronde, les vrais raisons de la suspension du référée béninois sont tout autres. La CAF, qui invoque l‘attitude déplacée du gardien algérien pour justifier cette mesure prise contre lui est battu en brèche par plusieurs acteurs de football qui considèrent plutôt que ce sont les incalculables fautes commises et son arbitrage partial en faveur des Egyptiens durant ce match qui sont à l‘origine de cette mise à l‘écart. Pour de nombreux arbitres, commentateurs sportifs et entraîneurs, Koffi Codjia a été l‘acteur principal de ce match. Il a pesé de tout son poids dans cette rencontre, où le «parti pris flagrant» pour l‘équipe égyptienne a été plus que de mesure. Il a sifflé des fautes imaginaires conduisant notamment à l‘expulsion du défenseur Halliche pour deux cartons jaunes successifs, suivi d‘un penalty, pas du tout évident, qui avait permis aux Egyptiens d‘ouvrir la marque et de se qualifier pour la finale. Continuant sur sa lancée, l‘arbitre béninois s‘était encore illustré en brandissant par deux fois le carton rouge à Belhadj et Chaouchi contribuant à donner au match un autre sens qui n‘était pas prévu au programme. L.B.