Les initiatives prises par les responsables du secteur du tourisme pour le développer et lui donner une aura nationale et internationale n'attirent pas les promoteurs pour des raisons que rien n'explique. Les initiatives prises par les responsables du secteur du tourisme pour le développer et lui donner une aura nationale et internationale n'attirent pas les promoteurs pour des raisons que rien n'explique. Mila, malgré tous les atouts touristiques dont elle dispose, semble vouée à vivre sa solitude et son renfermement sur elle-même. Les initiatives prises par les responsables de ce secteur pour le développer et lui donner une aura nationale et internationale n'attirent pas les promoteurs pour des raisons que rien n'explique. Les propriétaires d'hôtels et de restaurants de la wilaya ne se pressent nullement pour améliorer leurs prestations, ils semblent se contenter du peu qu'ils gèrent et ne bougent pas le petit doigt pour faire avancer les choses et moderniser leurs commerces. Le visiteur huppé aura bien du mal à trouver restaurant et hôtel à son goût. Les propriétaires des 13 hammams naturels, aux eaux thérapeutiques avérées, n'ont rien à offrir et les curistes qui s'y rendent n'en finissent pas de se plaindre du manque flagrant de commodités. Le mur Byzantin, la mosquée de Sidi Ghanem, la fontaine romaine Aïn Lebled, symboles des civilisations passées qui ont marqué l'histoire de la ville de Mila, mal exploités, n'attirent même pas les écoliers, alors que deux décennies auparavant les potaches de la wilaya et des wilayas avoisinantes s'y rendaient tout le temps et donnaient un semblant de vie et d'animation à la ville de Mila. Le barrage de Beni Haroun, le pont de Oued Dib et le pont à haubans, véritables chefs-d'œuvres architecturaux qui laissent tout visiteur médusé, n'ont toujours pas apporté le plus qu'il faut à la wilaya pour attirer les investisseurs, et pourtant en ces lieux où forêts, eaux poissonneuses et verdure cohabitent, y construire un hôtel ou un restaurant ne peut, selon les connaisseurs, n'être qu'un investissement porteur. Que faut-il donc inventer pour attirer les investisseurs touristiques ? La direction du tourisme a tout tenté mais en vain, le message ne semble pas passer. Z. A. Mila, malgré tous les atouts touristiques dont elle dispose, semble vouée à vivre sa solitude et son renfermement sur elle-même. Les initiatives prises par les responsables de ce secteur pour le développer et lui donner une aura nationale et internationale n'attirent pas les promoteurs pour des raisons que rien n'explique. Les propriétaires d'hôtels et de restaurants de la wilaya ne se pressent nullement pour améliorer leurs prestations, ils semblent se contenter du peu qu'ils gèrent et ne bougent pas le petit doigt pour faire avancer les choses et moderniser leurs commerces. Le visiteur huppé aura bien du mal à trouver restaurant et hôtel à son goût. Les propriétaires des 13 hammams naturels, aux eaux thérapeutiques avérées, n'ont rien à offrir et les curistes qui s'y rendent n'en finissent pas de se plaindre du manque flagrant de commodités. Le mur Byzantin, la mosquée de Sidi Ghanem, la fontaine romaine Aïn Lebled, symboles des civilisations passées qui ont marqué l'histoire de la ville de Mila, mal exploités, n'attirent même pas les écoliers, alors que deux décennies auparavant les potaches de la wilaya et des wilayas avoisinantes s'y rendaient tout le temps et donnaient un semblant de vie et d'animation à la ville de Mila. Le barrage de Beni Haroun, le pont de Oued Dib et le pont à haubans, véritables chefs-d'œuvres architecturaux qui laissent tout visiteur médusé, n'ont toujours pas apporté le plus qu'il faut à la wilaya pour attirer les investisseurs, et pourtant en ces lieux où forêts, eaux poissonneuses et verdure cohabitent, y construire un hôtel ou un restaurant ne peut, selon les connaisseurs, n'être qu'un investissement porteur. Que faut-il donc inventer pour attirer les investisseurs touristiques ? La direction du tourisme a tout tenté mais en vain, le message ne semble pas passer. Z. A.