Dans le cadre de la coopération entre l'Office national pour la culture et l'information et l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique, une conférence de presse a été animée par deux chorégraphes américains, Robin Cantrell et Sean Scantlebury, qui assurent la formation des jeunes danseurs algériens. Dans le cadre de la coopération entre l'Office national pour la culture et l'information et l'ambassade des Etats-Unis d'Amérique, une conférence de presse a été animée par deux chorégraphes américains, Robin Cantrell et Sean Scantlebury, qui assurent la formation des jeunes danseurs algériens. Ces ateliers de formation, qui ont débuté le 14 de ce mois pour donner comme résultat, pour le grand bonheur de la jeune génération, un superbe spectacle chorégraphique algéro-américain entre la compagnie américaine «Battery Dance» et le Ballet des arts populaires de l'ONCI et cela, samedi 20 février à partir de 19 h à la salle El Mouggar. «Notre compagnie se concentre essentiellement sur l'apprentissage de la danse. Nous essayons à chaque fois que nous arrivons dans un pays étranger d'apporter notre aide et notre savoir. Ainsi, nous enseignons aux autres danseurs un style différent, une autre manière de faire de la danse. Puis, à partir de ce travail, nous créons un nouveau spectacle qui finalise nos efforts et notre travail. Nous pourrons dire, d'ores et déjà, que nous allons vous montrer ce samedi un style que les spectateurs n'ont pas encore eu la chance de voir», déclare Mme Robin Cantrell pour expliquer la démarche de leur travail et de leur collaboration avec l'ONCI. Cette tâche et ce but émis par «Battery Dance» se traduisent également par leur conception pédagogique puisque «j'aime laisser les danseurs être à l'aise dans leurs mouvements. Puis je les laisse s'exprimer. A partir de ce déplacement nous choisissons des mouvements, nous les démontons pour les rassembler par la suite avec d'autres mouvements traditionnels et modernes. Notre spectacle est très moderne, avec des touche classique» nous avouera notre interlocutrice. Concernant les capacités de nos danseurs, la chorégraphe s'est dite «impressionnée par l'expression des émotions chez ces danseurs surtout leur expression de leur visage», mais les danseurs restent un peu en retard par rapport à quelques mouvements, «surtout au début, avec des mouvements liés à l'aérobic». Robin Cantrell et Sean Scantlebury sont arrivés à Alger samedi dernier et ils avaient commencé le lendemain leur travail de chorégraphe. D'ailleurs, le même jour, ils avaient constitué deux groupes de danse qui fusionneront lors du spectacle. Il est à signaler que c'est la première fois que la compagnie «Battery Dance» est de retour en Afrique du Nord après son expérience phénoménale en 2004 au Ghana. «Battery Dance Company» est connu sur les scènes du monde entier. Elle enseigne, présente et plaide pour cette discipline de la danse. Elle se consacre, d'ailleurs, à la poursuite de l'excellence artistique et la disponibilité des arts pour tous. Cette compagnie est une partie intégrante de la ville de New York. Depuis 30 ans, elle soutient le processus créatif, éduque les enfants dans les écoles de la ville, enrichit le grand public à travers des programmes locaux et des spectacles, de tournées nationales et internationales et de programmes internationaux d'art plaidant à chaque fois l'échange et la tolérance. K. H. Ces ateliers de formation, qui ont débuté le 14 de ce mois pour donner comme résultat, pour le grand bonheur de la jeune génération, un superbe spectacle chorégraphique algéro-américain entre la compagnie américaine «Battery Dance» et le Ballet des arts populaires de l'ONCI et cela, samedi 20 février à partir de 19 h à la salle El Mouggar. «Notre compagnie se concentre essentiellement sur l'apprentissage de la danse. Nous essayons à chaque fois que nous arrivons dans un pays étranger d'apporter notre aide et notre savoir. Ainsi, nous enseignons aux autres danseurs un style différent, une autre manière de faire de la danse. Puis, à partir de ce travail, nous créons un nouveau spectacle qui finalise nos efforts et notre travail. Nous pourrons dire, d'ores et déjà, que nous allons vous montrer ce samedi un style que les spectateurs n'ont pas encore eu la chance de voir», déclare Mme Robin Cantrell pour expliquer la démarche de leur travail et de leur collaboration avec l'ONCI. Cette tâche et ce but émis par «Battery Dance» se traduisent également par leur conception pédagogique puisque «j'aime laisser les danseurs être à l'aise dans leurs mouvements. Puis je les laisse s'exprimer. A partir de ce déplacement nous choisissons des mouvements, nous les démontons pour les rassembler par la suite avec d'autres mouvements traditionnels et modernes. Notre spectacle est très moderne, avec des touche classique» nous avouera notre interlocutrice. Concernant les capacités de nos danseurs, la chorégraphe s'est dite «impressionnée par l'expression des émotions chez ces danseurs surtout leur expression de leur visage», mais les danseurs restent un peu en retard par rapport à quelques mouvements, «surtout au début, avec des mouvements liés à l'aérobic». Robin Cantrell et Sean Scantlebury sont arrivés à Alger samedi dernier et ils avaient commencé le lendemain leur travail de chorégraphe. D'ailleurs, le même jour, ils avaient constitué deux groupes de danse qui fusionneront lors du spectacle. Il est à signaler que c'est la première fois que la compagnie «Battery Dance» est de retour en Afrique du Nord après son expérience phénoménale en 2004 au Ghana. «Battery Dance Company» est connu sur les scènes du monde entier. Elle enseigne, présente et plaide pour cette discipline de la danse. Elle se consacre, d'ailleurs, à la poursuite de l'excellence artistique et la disponibilité des arts pour tous. Cette compagnie est une partie intégrante de la ville de New York. Depuis 30 ans, elle soutient le processus créatif, éduque les enfants dans les écoles de la ville, enrichit le grand public à travers des programmes locaux et des spectacles, de tournées nationales et internationales et de programmes internationaux d'art plaidant à chaque fois l'échange et la tolérance. K. H.