Une délégation de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH) représentera l'Algérie au 4e congrès mondial contre la peine de mort, prévu, à partir d'aujourd'hui, à Genève (Suisse), selon un communiqué de la CNCPPDH. Organisé à l'initiative de la Coalition mondiale contre la peine de mort, ce congrès réunira plusieurs centaines de délégués représentant des gouvernements, des acteurs institutionnels, des organisations intergouvernementales et non-gouvernementales ainsi que des experts universitaires et des médias du monde entier, ajoute la même source. La CNCPPDH souligne que le moratoire observé par l'Algérie sur l'application de la peine de mort "contribue au renforcement et à l'élargissement progressif des droits de l'Homme", la peine de mort "n'ayant pas nécessairement un effet dissuasif" et toute erreur judiciaire dans l'application de la peine de mort étant "irréversible et irréparable". En ce sens, la Commission rappelle que l'Algérie a appuyé la résolution 62/149 du 26 février 2008, adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies portant moratoire sur l'application de la peine de mort. Elle relève aussi que le gouvernement algérien a décidé de donner une suite favorable à la proposition du gouvernement espagnol d'intégrer l'Algérie dans le Groupe d'appui appelé à soutenir, sur le plan international, les actions de la commission internationale en faveur du moratoire et de l'abolition universelle de la peine de mort. Une délégation de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l'Homme (CNCPPDH) représentera l'Algérie au 4e congrès mondial contre la peine de mort, prévu, à partir d'aujourd'hui, à Genève (Suisse), selon un communiqué de la CNCPPDH. Organisé à l'initiative de la Coalition mondiale contre la peine de mort, ce congrès réunira plusieurs centaines de délégués représentant des gouvernements, des acteurs institutionnels, des organisations intergouvernementales et non-gouvernementales ainsi que des experts universitaires et des médias du monde entier, ajoute la même source. La CNCPPDH souligne que le moratoire observé par l'Algérie sur l'application de la peine de mort "contribue au renforcement et à l'élargissement progressif des droits de l'Homme", la peine de mort "n'ayant pas nécessairement un effet dissuasif" et toute erreur judiciaire dans l'application de la peine de mort étant "irréversible et irréparable". En ce sens, la Commission rappelle que l'Algérie a appuyé la résolution 62/149 du 26 février 2008, adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies portant moratoire sur l'application de la peine de mort. Elle relève aussi que le gouvernement algérien a décidé de donner une suite favorable à la proposition du gouvernement espagnol d'intégrer l'Algérie dans le Groupe d'appui appelé à soutenir, sur le plan international, les actions de la commission internationale en faveur du moratoire et de l'abolition universelle de la peine de mort.