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Victime ou coupable ? 
Kamel Ladjal
Publié dans Le Midi Libre le 24 - 02 - 2010

Victime ou coupable est le dernier recueil de poésie de Kamel Ladjal. Cet homme est un invétéré du verbe, pour lequel chaque mot et chaque phrase possèdent un diadème unique que seuls les poètes peuvent interpréter.
Ce livre, qui sera mis en vente dans quelques jours, augure, en ce début d'année, un nouveau parcours dans le domaine littéraire d'expression française, avec comme fond de toile la poésie dans toute sa diversité.
Professeur de lettres françaises à Bouira, Kamel est né le 30 mai 1961 à Aïn Bessam où il fera ses études primaires et secondaires tout en s'initiant à la poésie, pour laquelle il consacrera, selon ses proches, tous ses moments de libre y compris ses vacances.
Mêlant la réalité à la fiction, l'auteur a su, dans cet ouvrage, comment s'attirer la sympathie du lecteur pour l'associer à sa vision des choses et le sensibiliser à sa douleur, dans le but d'en faire son principal témoin.
‘‘Tout le monde me disait que j'avais tort, j'étais le seul à penser que j'avais raison. Quand tout le monde m'affirme que j'ai raison, je me rends compte à quel point j'avais tort.'' C'est par ce pamphlet que Kamel débute la préface de son ouvrage, pour dire finalement que dans la vie, tout ne baigne pas dans l'huile et qu'il est parfois difficile de tirer le bon grain de l'ivraie.
Pour preuve, sa première expérience dans le domaine de l'édition lui a laissé, d'après ses proches, des traces indélébiles qui ont failli lui faire abandonner toute idée d'éditer.
Arnaqué par une maison d'édition française, où il a mis ses maigres économies, l'auteur a perdu tout espoir de voir un jour ses écrits porter à la connaissance du public.
Heureusement pour lui, le directeur de la culture de la wilaya de Bouira, ayant eu vent de l'affaire, n'a pas tardé à venir lui apporter son concours, afin de l'encourager à continuer et à aller de l'avant.
Pour décrire sa décrépitude, sa solitude, son état d'âme dans les moments de douleurs muettes, Kamel n'hésite pas à consacrer presque une centaine de pages pour nous faire vivre des moments où se mêlent joie, amour et trahison.
‘‘Réveillés au milieu de la nuit, ils l'ont trouvé pendu à un arbre. Tout le village criait vengeance, à l'instant, ils avaient coupé l'arbre, croyant punir l'assassin…''Une dizaine de thèmes d'actualité littéraire, aussi fascinant les uns que les autres, sont traités dans un style poétique d'une rare consonance où le ver retrouve sa splendeur et sa volupté.
K. Z.
Victime ou coupable est le dernier recueil de poésie de Kamel Ladjal. Cet homme est un invétéré du verbe, pour lequel chaque mot et chaque phrase possèdent un diadème unique que seuls les poètes peuvent interpréter.
Ce livre, qui sera mis en vente dans quelques jours, augure, en ce début d'année, un nouveau parcours dans le domaine littéraire d'expression française, avec comme fond de toile la poésie dans toute sa diversité.
Professeur de lettres françaises à Bouira, Kamel est né le 30 mai 1961 à Aïn Bessam où il fera ses études primaires et secondaires tout en s'initiant à la poésie, pour laquelle il consacrera, selon ses proches, tous ses moments de libre y compris ses vacances.
Mêlant la réalité à la fiction, l'auteur a su, dans cet ouvrage, comment s'attirer la sympathie du lecteur pour l'associer à sa vision des choses et le sensibiliser à sa douleur, dans le but d'en faire son principal témoin.
‘‘Tout le monde me disait que j'avais tort, j'étais le seul à penser que j'avais raison. Quand tout le monde m'affirme que j'ai raison, je me rends compte à quel point j'avais tort.'' C'est par ce pamphlet que Kamel débute la préface de son ouvrage, pour dire finalement que dans la vie, tout ne baigne pas dans l'huile et qu'il est parfois difficile de tirer le bon grain de l'ivraie.
Pour preuve, sa première expérience dans le domaine de l'édition lui a laissé, d'après ses proches, des traces indélébiles qui ont failli lui faire abandonner toute idée d'éditer.
Arnaqué par une maison d'édition française, où il a mis ses maigres économies, l'auteur a perdu tout espoir de voir un jour ses écrits porter à la connaissance du public.
Heureusement pour lui, le directeur de la culture de la wilaya de Bouira, ayant eu vent de l'affaire, n'a pas tardé à venir lui apporter son concours, afin de l'encourager à continuer et à aller de l'avant.
Pour décrire sa décrépitude, sa solitude, son état d'âme dans les moments de douleurs muettes, Kamel n'hésite pas à consacrer presque une centaine de pages pour nous faire vivre des moments où se mêlent joie, amour et trahison.
‘‘Réveillés au milieu de la nuit, ils l'ont trouvé pendu à un arbre. Tout le village criait vengeance, à l'instant, ils avaient coupé l'arbre, croyant punir l'assassin…''Une dizaine de thèmes d'actualité littéraire, aussi fascinant les uns que les autres, sont traités dans un style poétique d'une rare consonance où le ver retrouve sa splendeur et sa volupté.
K. Z.


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