Le chef du groupe sunnite extrémiste Joundallah, Abdolmalek Righi, détenu en Iran, a "avoué" avoir reçu une proposition d'aide des Etats-Unis pour combattre le régime islamique. "Les Américains ont dit qu'ils coopéreraient avec nous et nous fourniraient du matériel militaire. Ils ont aussi promis de nous donner une base en Afghanistan près de la frontière iranienne", a dit Righi dans une vidéo diffusée par la télévision officielle Press-TV. Homme le plus recherché par l'Iran, il a été arrêté après l'interception mardi par les autorités iraniennes d'un avion qui l'amenait de Dubaï au Kirghizstan ou selon ses déclarations, il devait y rencontrer "un haut responsable américain". Le groupe Joundallah mène depuis dix ans une rébellion sanglante dans le sud-est de l'Iran, frontalier du Pakistan. Téhéran l'a toujours accusé d'être entraîné et équipé par les services de renseignements américains, britanniques mais aussi pakistanais dans le but de déstabiliser le pouvoir central iranien. Washington a régulièrement démenti ces accusations. Le chef du groupe sunnite extrémiste Joundallah, Abdolmalek Righi, détenu en Iran, a "avoué" avoir reçu une proposition d'aide des Etats-Unis pour combattre le régime islamique. "Les Américains ont dit qu'ils coopéreraient avec nous et nous fourniraient du matériel militaire. Ils ont aussi promis de nous donner une base en Afghanistan près de la frontière iranienne", a dit Righi dans une vidéo diffusée par la télévision officielle Press-TV. Homme le plus recherché par l'Iran, il a été arrêté après l'interception mardi par les autorités iraniennes d'un avion qui l'amenait de Dubaï au Kirghizstan ou selon ses déclarations, il devait y rencontrer "un haut responsable américain". Le groupe Joundallah mène depuis dix ans une rébellion sanglante dans le sud-est de l'Iran, frontalier du Pakistan. Téhéran l'a toujours accusé d'être entraîné et équipé par les services de renseignements américains, britanniques mais aussi pakistanais dans le but de déstabiliser le pouvoir central iranien. Washington a régulièrement démenti ces accusations.