Les représentants de la société civile algérienne, nigériane et sud-africaine ont organisé, vendredi dernier à Alger, une rencontre au cours de laquelle ils ont réitéré leur solidarité totale avec la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et leur soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Les représentants de la société civile algérienne, nigériane et sud-africaine ont organisé, vendredi dernier à Alger, une rencontre au cours de laquelle ils ont réitéré leur solidarité totale avec la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et leur soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination. Cette rencontre de coordination vise, selon le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui, Mahrez Lamari, à "exprimer la mobilisation africaine unie et solidaire avec la RASD". Lors de l'ouverture de cette rencontre conjointe entre l'Algérie, le Nigeria et l'Afrique du Sud à l'occasion du 34e anniversaire de la proclamation de la RASD en février 1976, Mahrez Lamari a affirmé la nécessité d'accélérer l'application des différentes résolutions onusiennes qui stipulent "la consécration du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination". Le président du comité a appelé, dans ce contexte, les Nations unies à "assumer leurs responsabilités à l'égard de la cause sahraouie en appliquant les différentes résolutions qui stipulent le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination". L'intervenant a appelé à la nécessité de "soutenir l'action de masse que ce soit en Afrique ou au plan international pour défendre la cause sahraouie afin que le peuple sahraoui puisse recouvrer ses droits légitimes". Une plate-forme d'action commune a été adoptée vendredi à Alger par les participants à une réunion tripartite (Algérie-Nigeria-Afrique du Sud) dans le but d'une "mobilisation citoyenne et populaire africaine unie et solidaire" avec de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Les participants à la réunion ont décidé de saisir par écrit le secrétaire général des Nations unies, les membres du Conseil de sécurité, les présidents de l'Union européenne, du Conseil de l'Europe, du Parlement européen, de l'organisation de l'Unité africaine (UA) et l'envoyé spécial du SG de l'ONU au Sahara Occidental afin de faire valoir leurs recommandations. Le coordinateur du Front Polisario à la MINURSO Mohamed Khadad a, pour sa part, considéré cette rencontre comme "un pas important sur la voie de la consolidation de la solidarité africaine avec la cause sahraouie qui demeure la dernière colonisation en Afrique". Ce soutien, a-t-il dit, quand il émane de trois pays ayant un poids politique, économique et historique en Afrique "doit être pris en considération et avoir l'effet escompté au plan international à commencer par l'Europe notamment la France qui a une responsabilité historique dans le non aboutissement à une solution pour la cause du Sahara Occidental". Pour Khadad, cette rencontre est "un réel début pour attirer l'attention de l'Europe sur la position unifiée de l'Afrique et de ses peuples dans le soutien de la cause sahraouie». M. C. Cette rencontre de coordination vise, selon le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui, Mahrez Lamari, à "exprimer la mobilisation africaine unie et solidaire avec la RASD". Lors de l'ouverture de cette rencontre conjointe entre l'Algérie, le Nigeria et l'Afrique du Sud à l'occasion du 34e anniversaire de la proclamation de la RASD en février 1976, Mahrez Lamari a affirmé la nécessité d'accélérer l'application des différentes résolutions onusiennes qui stipulent "la consécration du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination". Le président du comité a appelé, dans ce contexte, les Nations unies à "assumer leurs responsabilités à l'égard de la cause sahraouie en appliquant les différentes résolutions qui stipulent le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination". L'intervenant a appelé à la nécessité de "soutenir l'action de masse que ce soit en Afrique ou au plan international pour défendre la cause sahraouie afin que le peuple sahraoui puisse recouvrer ses droits légitimes". Une plate-forme d'action commune a été adoptée vendredi à Alger par les participants à une réunion tripartite (Algérie-Nigeria-Afrique du Sud) dans le but d'une "mobilisation citoyenne et populaire africaine unie et solidaire" avec de la République arabe sahraouie démocratique (RASD). Les participants à la réunion ont décidé de saisir par écrit le secrétaire général des Nations unies, les membres du Conseil de sécurité, les présidents de l'Union européenne, du Conseil de l'Europe, du Parlement européen, de l'organisation de l'Unité africaine (UA) et l'envoyé spécial du SG de l'ONU au Sahara Occidental afin de faire valoir leurs recommandations. Le coordinateur du Front Polisario à la MINURSO Mohamed Khadad a, pour sa part, considéré cette rencontre comme "un pas important sur la voie de la consolidation de la solidarité africaine avec la cause sahraouie qui demeure la dernière colonisation en Afrique". Ce soutien, a-t-il dit, quand il émane de trois pays ayant un poids politique, économique et historique en Afrique "doit être pris en considération et avoir l'effet escompté au plan international à commencer par l'Europe notamment la France qui a une responsabilité historique dans le non aboutissement à une solution pour la cause du Sahara Occidental". Pour Khadad, cette rencontre est "un réel début pour attirer l'attention de l'Europe sur la position unifiée de l'Afrique et de ses peuples dans le soutien de la cause sahraouie». M. C.