D'aucuns souhaitent que les services de sécurité se penchent sur le contrôle des mobylettes, motos et grosses cylindrées qui sont pilotées, parfois, par des adolescents inexpérimentés, non munis du casque obligatoire, et qui s'adonnent à des slaloms et rallyes dans des quartiers populeux et aux abords des établissements scolaires. D'aucuns souhaitent que les services de sécurité se penchent sur le contrôle des mobylettes, motos et grosses cylindrées qui sont pilotées, parfois, par des adolescents inexpérimentés, non munis du casque obligatoire, et qui s'adonnent à des slaloms et rallyes dans des quartiers populeux et aux abords des établissements scolaires. Le phénomène des motos a pris de l'ampleur ces dernières années sans susciter une quelconque réaction des pouvoirs publics face aux dépassements flagrants, aux délits commis et à la cascade d'accidents. De nombreuses familles ont été endeuillées par la perte d'un être cher à cause d'une bêtise humaine. A titre illustratif, une mère de famille avait été renversée, au boulevard Souidani-Boudjemaâ, au chef-lieu de wilaya, par un bolide piloté par un jeune inconscient, laissant derrière elle quatre orphelins inconsolables, alors q'un écolier habitant la cité Agabi avait perdu la vie par la faute d'un motard chauffard. Au niveau du rond-point implanté aux abords du complexe ECVE (ex-Céramique ), un jeune homme issu d'une famille honorable, connue à Guelma, avait perdu le contrôle de sa grosse moto et avait loudement chuté sur le macadam, périssant sur le coup, suite à une grave fracture crânienne, chose qu'il aurait pu éviter s'il portait le casque qui est obligatoire. Combien de personnes sont-elles mortes à cause justement du non port du casque ? Les exemples sont légion et des vies humaines auraient pu être préservées si le code de la route avait été appliqué dans toute sa rigueur. Les pouvoirs publics ont promulgué et mis en application, début février, le nouveau code de la route qui dissuade plus d'un, car les sanctions des délits commis sont très sévères : fortes amendes, retrait du permis de conduire, poursuites judiciaires et même peine de prison. Ces mesures ont été prises dans le souci de lutter et de freiner le nombre effarant des accidents mortels de la circulation. Dans son ensemble, la population applaudit le durcissement des sanctions car une vie humaine est très précieuse. D'aucuns souhaitent que les services de sécurité se penchent sur le contrôle efficace et permanent des mobylettes, motos et grosses cylindrées qui sont pilotées, parfois, par des adolescents inexpérimentés, non munis du casque obligatoire pour eux et leurs passagers, et qui s'adonnent impunément à des slaloms et rallyes dans des quartiers populeux et aux abords des établissements scolaires. Des citoyens ont saisi cette opportunité pour lancer un pressant appel aux autorités concernées, dont le devoir est de veiller sur la sécurité, la quiétude et le bien-être de la collectivité qui subit chaque jour le diktat des motards coupables d'infractions graves. Il est temps d'assainir ce secteur longtemps livré à lui-même, à savoir exiger le port du casque, la limitation de vitesse, l'âge requis quant à la conduite, etc. C'est la solution idoine pour sauver des vies humaines car aucune indulgence ne sera tolérée. H. B. Le phénomène des motos a pris de l'ampleur ces dernières années sans susciter une quelconque réaction des pouvoirs publics face aux dépassements flagrants, aux délits commis et à la cascade d'accidents. De nombreuses familles ont été endeuillées par la perte d'un être cher à cause d'une bêtise humaine. A titre illustratif, une mère de famille avait été renversée, au boulevard Souidani-Boudjemaâ, au chef-lieu de wilaya, par un bolide piloté par un jeune inconscient, laissant derrière elle quatre orphelins inconsolables, alors q'un écolier habitant la cité Agabi avait perdu la vie par la faute d'un motard chauffard. Au niveau du rond-point implanté aux abords du complexe ECVE (ex-Céramique ), un jeune homme issu d'une famille honorable, connue à Guelma, avait perdu le contrôle de sa grosse moto et avait loudement chuté sur le macadam, périssant sur le coup, suite à une grave fracture crânienne, chose qu'il aurait pu éviter s'il portait le casque qui est obligatoire. Combien de personnes sont-elles mortes à cause justement du non port du casque ? Les exemples sont légion et des vies humaines auraient pu être préservées si le code de la route avait été appliqué dans toute sa rigueur. Les pouvoirs publics ont promulgué et mis en application, début février, le nouveau code de la route qui dissuade plus d'un, car les sanctions des délits commis sont très sévères : fortes amendes, retrait du permis de conduire, poursuites judiciaires et même peine de prison. Ces mesures ont été prises dans le souci de lutter et de freiner le nombre effarant des accidents mortels de la circulation. Dans son ensemble, la population applaudit le durcissement des sanctions car une vie humaine est très précieuse. D'aucuns souhaitent que les services de sécurité se penchent sur le contrôle efficace et permanent des mobylettes, motos et grosses cylindrées qui sont pilotées, parfois, par des adolescents inexpérimentés, non munis du casque obligatoire pour eux et leurs passagers, et qui s'adonnent impunément à des slaloms et rallyes dans des quartiers populeux et aux abords des établissements scolaires. Des citoyens ont saisi cette opportunité pour lancer un pressant appel aux autorités concernées, dont le devoir est de veiller sur la sécurité, la quiétude et le bien-être de la collectivité qui subit chaque jour le diktat des motards coupables d'infractions graves. Il est temps d'assainir ce secteur longtemps livré à lui-même, à savoir exiger le port du casque, la limitation de vitesse, l'âge requis quant à la conduite, etc. C'est la solution idoine pour sauver des vies humaines car aucune indulgence ne sera tolérée. H. B.